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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


Sosa :20 612 650 280
Empereur d'Occident , Roi des Francs , SOSA

  • Né en 747 - Jupille sur Meuse, Belgique
  • Décédé le 28 janvier 814 - Aix la Chapelle, Allemagne,à l'âge de 67 ans
  • Empereur d'Occident, Roi des Francs, Béatifié

 Parents

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

I209045
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Beyrand 35/0 (x 66 299), Desbordes 37/0 (x 187 425), Tharaud 36/0 (x 311 786), Desale 34/0 (x 8 499), Demoulière 38/0 (x 11 913), Touchelet 38/0 (x 31 669), Plumency 37/0 (x6 233), Jacquemard 38/0 (x 36 896), Renvoyé 39/0 (x 55 344) en 716 064liens avec la souche

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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins célèbres
Il fut un despote ombrageux, trop souvent considéré comme un monarque éclairé

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Selon certains, il aurait vu le jour en Austrasie à Herstal ou à Jupille, où réside le plus souvent son père Pépin le Bref. (Herstal et Jupille se situent aujourd'hui dans la banlieue de la ville de Liège en Belgique et sont à l'époque des lieux de résidence privilégiée de certains souverains ancêtres des Carolingiens, notamment Pépin le Gros, le père de Charles Martel)
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[Introduction de la page Wikipédia 2016 https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlemagne :]
Charlemagne, du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » dans la nomenclature qui commence avec Clovis Ier, né le 2 avril 742 (voire 747 ou 748), mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle, est un roi des Francs et empereur. Il appartient à la dynastie des Carolingiens, à laquelle il a donné son nom.
Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de 768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le 25 décembre 800, relevant une dignité disparue depuis la chute de l'Empire romain d'Occident en 476.
Roi guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission fut difficile et violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les musulmans d'Al-Andalus.
Souverain réformateur, soucieux d'orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l'origine de la « renaissance carolingienne ».
Son œuvre politique immédiate, l'empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, Charlemagne prévoit dès 806 le partage de l'Empire entre ses trois fils. Aprèsde nombreuses péripéties, l'empire ne sera finalement partagé qu'en 843 entre trois de ses petits-fils (traité de Verdun).
Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la formation en Europe des États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier en 962 à Charles Quint au XVIe siècle, voire Napoléon Ier, hanté par l'exemple du plus éminent des Carolingiens.
La figure de Charlemagne a été l'objet de déchirements en Europe, notamment d'enjeu politique entre le XIIe et XIXe siècles entre la nation germanique qui considère le Saint-Empire romain comme le successeur légitime de l'empereur carolingien et la nation française qui en fait un élément central de la continuité dynastique des Capétiens. Pourtant,il peut être considéré comme le « Père de l'Europe », pour avoir assuré le regroupement d'une partie notable de l'Europe occidentale, etposé des principes de gouvernement dont ont hérité les grands Étatseuropéens.
Les deux principaux textes du IXe siècle qui dépeignent le Charlemagneréel, la Vita Caroli d'Éginhard et la Gesta Karoli Magni attribuée au moine de Saint-Gall Notker le Bègue, l'auréolent également de légendes et de mythes repris au cours des siècles suivants : « Il y ale Charlemagne de la société vassalique et féodale, le Charlemagne de la Croisade et de la Reconquête, le Charlemagne inventeur de la Couronne de France ou de la Couronne impériale, le Charlemagne mal canonisémais tenu pour vrai saint de l'Église, le Charlemagne des bons écoliers ».
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[Gérard Boutet - Quand l'histoire de France musardait en Val de Loire -C.L.D. 1986]
L'empereur des Allemagnes Charles le Grand, dit Charlemagne pour la postérité, est un heureux imposteur. La patine séculaire l'embellit. Aucune louange, aucun éloge n'est assez ernphatique pour célébrer sa silhouette altiére, son penchant pour l'instruction, sa droiture, sa foi chrétienne et — bien entendu — sa fameuse barbe ?eurie... Cela force à sourire quand on épluche les chroniques du moine Eginhard, le secrétaire imperial de l'époque !
Car si on en croit le bon religieux, Charlemagne n'était qu'un lourdaud de taille moyenne, bedonnant et bouffi. Au grand dam de ses mires quilui préconisaient une diète sévère, le boulimique engloutissait parrepas, a lui seul, entre autres amuse-gueule, un quartier de mouton dégoulinant de grasse ripopée ! Un veritable ogre. Alors que les croquants devaient se satisfaire de maigres bouillies, les leudes de son entourage s'engraissaient de venaisons marinées dans une épaisse vinasse, piquées de gousses d'ail et réties a la broche. L'empereur mangeait avec les doigts et s'essuyait à la nappe, lorsqu'il y en avait unesur la table. L'élégance méme.
Son instruction resta fort primaire : il ne sut ni lire ni écrire,ni même écouter ses conseillers. Quant à sa prétendue droiture, elle tortillait entre la per?die et l'impitoyable cruauté. Charlemagne laissa de sanglantes traces : il fit enfermer ses neveux afin de n'en plus entendre parler ; dés lors, il put s'attribuer sans contesteleur royaume, lequel comprenait l'Aguienne, la Septimanie, la Provence, la Burgondie et l'Austrasie. Il ?t mémement emmurer son ex-beau-pere, le roi Didier, dans l'abbaye de Corbie ; apres quoi, il s'accapara sans probléme de la couronne de fer des Lombards. Par la meme occasion, il ordonna moult malfaisances au hasard des régions retiréesqu'il voulait dominer. Il ne recula jamais devant un massacre. Voila pour sa droiture...
Sa foi chrétienne, Dieu lui pardonne, se résuma aux innombrables relégations qu'il réservait aux gêneurs. Il repeupla de la sorte plusieurs couvents et monasteres. Ainsi furent cloitrés sa premiere compagne qui devait disparaitre pour raison d”Etat, les deux héritiers de son frère Carloman, son second beau-père dont le tort était de régner sur la Lombardie, et son propre ?ls Pépin le Bossu, roi d'Italie, qui semblait fomenter un parricide au moment de son arrestation ! Pour le reste de la religion, notre empereur s'en moqua comme de sa premieretunique et ne considéra le page Léon Trois qu'avec dédain, comme s'il se fut agi d'un vulgaire vassal. Enfin, et c'est là le plus surprenant, il ne porta jamais la barbe, tout juste une méchante moustache tombante de charbonnier arverne.
Qu'ajouter d'autre, sinon que notre Carolus Magnus se montra toujours fort entreprenant envers les dames, bien qu'il s'embarrassait rarementde délicatesses amoureuses ? Outre ses nombreuses concubines qu'il honorait simultanément, ii débilita cinq épouses légitimes, répudiant les deux premieres et exténuant tant les suivantes qu'elles en trépassèrent. Les victimes de cette fougue furent la chaste Himiltrude,la fortunée Désiderade, la gracieuse Hildegarde, la perverse
Fastrade et la tendre Liutgarde.
Décevant personnage, direz-vous. Certainement. Mais le seigneur avait de qui tenir. Car chose logique, Charles le Grand succédait à Pépin lePetit, son auguste père. Entendez par là : à Pépin le Bref, ainsi nommé pour sa courte stature.
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Ascendance d'après Christian Settipani 2015
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Créé le 14/07/2016, modifiéle 2/08/2016

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

sosa Pépin II le Jeune DE HERSTAL, Maire du Palais 645-714 sosa Alpaïde DE SAXE, SOSA 660-705 sosa Lambert DE HESBAYE, Comte de Wormsgau 665- sosa Epouse de Lambert X EPOUSE DE HESBAYE, SOSA sosa Martin DE LAON, Comte de Laon sosa Bertrade XXX DE PRÜM, SOSA 670-721  
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sosa Charles Martel CAROLINGIENS, Duc d'Austrasie 690- sosa Rotrude XXX DE HESBAYE, SOSA †724 sosa Caribert DE LAON, SOSA †744..762 sosa Gisèle X EPOUSE DE LAON, SOSA
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sosa Pépin le Bref CAROLINGIENS, Roi des Francs 714-768 sosa Berthe Au Grand Pied DE LAON, SOSA 720-783
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sosa Charlemagne CAROLINGIENS, Empereur d'Occident 747-814