Message d'information du propriétaire de l'arbre

close

Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


  • Né en 1593 - Bagneux, Marne 51, Marne
  • Décédé en 1666 - Port Royal, Acadie,à l'âge de 73 ans
  • Gouverneur de l'Acadie de 1624 à 1631

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

I226605
Il descend de Charlemagne (liens).
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Demoulière 29/13, Jacquemard 26/13, Renvoyé 27/13, Plumency 25/11, Desale 21/10, Touchelet 24/10, Beyrand 18/6, Desbordes 19/6, Tharaud 18/6

======================================================================================================================================================================================
Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins célèbres
Troisième gouverneur de l'Acadie

======================================================================================================================================================================================
Sa descendance en Acadie et au Québec est importante
Voir aussi les notes de ses épouses, éventuellement celles de Jean et Charles de Biencourt
------------------------------------
(Début de la biographie de la page http://www.cyberacadie.com/Biographie/g4_charles_de_latour.htm)
SAINT-ÉTIENNE DE LA TOUR, CHARLES DE (son nom de famille fut peut-êtreTurgis), commerçant, colonisateur et gouverneur de l'Acadie ; né en 1593, probablement en Champagne, fils de Claude de Saint-Étienne de La Tour ; mort en 1666.
Le 25 février 1610, Charles partit de Dieppe pour l'Acadie avec son père et un groupe d'hommes dirigés par Jean de Biencourt de Poutrincourt, pour réoccuper l'établissement abandonné de Port-Royal (AnnapolisRoyal, N.É.). Au cours des années suivantes, les affaires de l'Acadie furent le plus souvent entre les mains du fils de Poutrincourt, Charles de Biencourt. Ce dernier et La Tour, son lieutenant, étaient des amisintimes.
À la suite de la destruction de Port-Royal par Samuel Argall en 1613, Biencourt et ses hommes durent vivre parmi les Indiens durant un certain temps. Ne recevant que peu de ravitaillement ou de renforts de la France, Biencourt et La Tour ne purent reconstruire qu'en partie les bâtiments de Port-Royal. Ils délaissèrent à peu près complètement la colonisation et la culture pour se livrer à la traite des fourrures, commerce lucratif mais plein de risques, qui attirait chaque année des naviresnombreux sur les côtes de l'Acadie. Quand Biencourt mourut, en 1623, La Tour lui succéda à la tête de la colonie. Peu après, celui-ci construisit, au cap de Sable, un poste fortifié qu'il nomma le fort Lomeron en l'honneur de David Lomeron qui était son représentant en France. Il s'y livra à la culture et à un commerce important de pelleteriesavec les Indiens.
Quand, en 1627, il apprit que la guerre avait éclaté entre la France et l'Angleterre, La Tour commença à s'inquiéter de l'avenir. Depuis20 ans, le gouvernement français ne se préoccupait guère de l'Acadie, la laissant sans défense et sans aide économique. Il ne restait à la France dans ce pays que le fort Lomeron de La Tour. Il comprit qu'ilfallait agir sans tarder pour renforcer les défenses afin que l'Acadie restât française. Il écrivit donc. à Louis XIII et au cardinal de Richelieu pour leur signaler le manque d'appui et leur apprendre que, exerçant les fonctions d'administrateur en Acadie à titre d'héritierde Biencourt, il avait gardé l'Acadie à la France. Il ajoutait qu'il avait formé une troupe mixte de Français et d'Indiens dont il s'était servi pour contrecarrer les tentatives des Anglais en vue de se livrer à la traite et à la pêche en Acadie. Il terminait en demandant des approvisionnements et des renforts, ainsi qu'une commission en bonne et due forme qui l'autoriserait à défendre le territoire. Le père deLa Tour présenta ces lettres et put, en même temps, donner un rapportcomplet sur la situation en Acadie.
La demande de ravitaillement et d'hommes fut renvoyée à la nouvelle et puissante association de traite formée en cette année 1627, sous le nom de Compagnie de la Nouvelle-France, dite aussi des Cent-Associés, et autorisée à faire la traite avec les Indiens ainsi qu'à accorder des seigneuries pour favoriser la colonisation de la Nouvelle-France. Le printemps suivant, la compagnie dépêchait quatre navires, sous le commandement de Roquemont de Brison, chargés d'approvisionnements pour Québec et le cap de Sable. Trois navires, commandés par Sir David Kirke, qui accompagnaient des vaisseaux transportant William Alexander, le jeune, et ses colons, s'emparèrent des navires français (et de Claude de La Tour). Charles ne reçut donc aucun secours. Lorsque Québec tomba aux mains des Anglais en 1629, il ne resta aux Français, en Nouvelle-France, que le fort Lomeron.
Prisonnier des Anglais, Claude de La Tour épousa leur cause et promit d'y gagner son fils en échange d'une vaste concession de terre en « Nouvelle-Ecosse ». Il partit immédiatement avec deux bâtiments de guerre anglais transportant des colons et des soldats pour l'établissementanglo-écossais de Port-Royal. On fit escale au cap de Sable, et Claudes'empressa de mettre son fils au courant des événements. Il pria avec instance Charles d'abandonner cette dernière possession de la Franceen Acadie, pour accepter le titre et la généreuse concession de terreque les Anglais lui offraient. Selon le récit de Champlain, le jeune La Tour répondit avec énergie, « souhaitant plutot la mort que de condescendre à une telle meschanceté que de trahir son Roy ».
Ses exhortations restant vaines, Claude recourut à la force. Durant 24 heures, des troupes, qu'il commandait sans doute en personne, attaquèrent le fort Lomeron, mais sans succès. Charles faisait ainsi triompher la cause de la France, tandis que son père, assez gêné, se voyait obligé de suivre les Anglais à Port-Royal.
Peu après, deux navires de la Compagnie de la Nouvelle-France, dépêchés par Jean Tuffet, arrivent au fort Lomeron chargés d'approvisionnements et d'une recrue, composée d'artisans et de trois récollets. Bernard Marot, chef de l'expédition, apporte des lettres dans lesquelles la compagnie annonce à La Tour sa nomination au nombre des associés, et lui explique qu'on lui envoie vivres, armes et hommes pour lui permettre de construire une habitation là où il le jugera le plus utile. Bientôt, les artisans se mettent à l'œuvre pour agrandir et renforcer le poste du cap de Sable, apparemment rebaptisé fort La Tour (bien que Champlain l'appelle « Fort sainct Louys ». En même temps, Charles s'entretient avec Marot et les récollets de la situation de son père, puis décide de permettre à Claude de rentrer au cap de Sable.
La France recommençant à s'intéresser à l'Acadie, La Tour résolutde bâtir un poste de traite fortifié à l'embouchure de la rivière Saint-Jean, source la plus abondante de fourrures de toute l'Acadie. Ilraisonnait que, de cette façon, il déjouerait les desseins que les Anglais pourraient entretenir à l'égard de cette région. La Tour dépêcha immédiatement en France un émissaire, Krainguille, pour demander les hommes et les matériaux nécessaires à la réalisation de son projet. Le 8 février 1631, Louis XIII signa une commission royale ayant pour objet de nommer Charles de La Tour gouverneur et lieutenant général du roi
======================================================================================================================================================================================
Créé avant le 28/09/2005

  Photos & documents

{{ media.title }}

{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}

 Aperçu de l'arbre

    Jean DE SALAZAR 1500- Marguerite DE LA TRÉMOUVILLE  
  |
12
 |
13
 
  


 
  | 
  Hector DE SALAZAR, Baron de Saint Just Antoinette DE COURCELLE
 |
6
 |
7
 


 |
Claude Nicolas DE LA TOUR, Sieur de Turgis  Marie DE SALAZAR
|
2
 |
3



|
Charles DE LA TOUR 1593-1666