Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...
Seigneur de Guise , Vicomte de Limoges , Comte de Penthièvre , Duc de Bretagne , SOSA
- Né en 1319
- Décédé le 29 septembre 1364 - Auray, Morbihan 56, Morbihan,à l'âge de 45 ans
- Seigneur de Guise, Vicomte de Limoges, Comte de Penthièvre, Duc de Bretagne de 1341 à 1354
Parents
- Gui Ier DE CHÂTILLON, Comte de Blois , SOSA , né en 1298, décédé le 12 août 1342 à l'âge de 44 ans, Comte de Blois
Marié le 22 octobre 1310, Saint Germain en Laye, Yvelines 78, Yvelines, avec - Marguerite DE VALOIS, SOSA , née en 1295, décédée en juillet 1342 à l'âge de 47 ans
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
- Marié le 4 juin 1337, Paris, Seine 75, Paris, avec Jeanne la Boîteuse DE PENTHIÈVRE, Comtesse de Penthièvre , Vicomtesse de Limoges , Duchesse de Bretagne , SOSA , née le 13 juillet 1319 - Dreux, Eure et Loir 28, Eure et Loir, décédée le 10 septembre 1384 - Guingamp, Côte d'Armor 22, Côtes d'Armor à l'âge de 65 ans, Comtesse de Penthièvre, Vicomtesse de Limoges, Duchesse de Bretagne(Parents : Guy DE DREUX, Comte de Penthièvre 1287-1331 & Jeanne D'AVAUGOUR, SOSA †1327)dont
- Marie de Blois DE CHÂTILLON, Reine de Sicile 1345-1404 Mariée le 9 juillet 1360 avecLouis Ier de Valois D'ANJOU, Roi de Sicile 1339-1384 dont
- Louis II de Valois D'ANJOU, Roi de Sicile 1377-1417 Marié le 2 décembre 1400, Arles, Bouches du Rhône 13, Bouches du Rhône, avecYolande D'ARAGON, Duchesse d'Anjou 1384-1442 dont :
- Louis III D'ANJOU, Roi de Sicile 1403-1434
- Marie D'ANJOU, Reine de France 1404-1463
- René D'ANJOU, Roi de Naples 1409-1480
- Yolande D'ANJOU 1412-1440
- Charles IV D'ANJOU, Comte du Maine 1414-1472
- Charles D'ANJOU, Duc de Calabre †1404
- Louis II de Valois D'ANJOU, Roi de Sicile 1377-1417 Marié le 2 décembre 1400, Arles, Bouches du Rhône 13, Bouches du Rhône, avecYolande D'ARAGON, Duchesse d'Anjou 1384-1442 dont :
- Jean Ier de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre 1345-1404 Marié le 20 janvier 1387, Moncontour, Vienne 86, Vienne, avec Marguerite DE CLISSON, Comtesse de Penthièvre 1366-1441 dont
- Olivier de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre 1389-1433 Marié le 22 juillet 1406, Arras, Pas de Calais 62, Pas de Calais, avecIsabelle DE BOURGOGNE, Comtesse de Penthièvre 1395-1412
Olivier de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre 1389-1433 Marié le 31 janvier 1423, Arras, Pas de Calais 62, Pas de Calais, avecJeanne DE LALAING, Dame de Quiévrain †1467 dont :
Olivier de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre 1389-1433 Marié le 22 janvier 1444, Ségur le Château, Corrèze 19, Corrèze, avec Anne DE CHAVIGNY, SOSA dont :- Marguerite la Bâtarde DE CHÂTILLON, SOSA 1420-1484
- Guillaume de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre †1455 Marié avecIsabelle DE LA TOUR-D'AUVERGNE †1488 dont :
- Françoise de Blois DE CHÂTILLON, Comtesse de Périgord †1481
- Olivier de Blois DE CHÂTILLON, Comte de Penthièvre 1389-1433 Marié le 22 juillet 1406, Arras, Pas de Calais 62, Pas de Calais, avecIsabelle DE BOURGOGNE, Comtesse de Penthièvre 1395-1412
- Marie de Blois DE CHÂTILLON, Reine de Sicile 1345-1404 Mariée le 9 juillet 1360 avecLouis Ier de Valois D'ANJOU, Roi de Sicile 1339-1384 dont
Notes
Notes individuelles
I184228
Il descend de Charlemagne (liens).
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Desbordes 23/0, Tharaud 21/0, Demoulière 29/4, Jacquemard 26/4, Renvoyé 27/4, Plumency 28/7, Hamelin28/5, Beyrand 24/4, Desale 23/4, Touchelet 29/3 en 2 liens avec la souche
Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins des temps de guerre
1364, guerre de cent ans, Auray, 18.000 homme au combat, il perd le duché de Bretagne et la vie
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[Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d'Auray]
Au début de 1364, après l'échec des négociations d'Évran, le jeune Jean IV de Bretagne, fils de Jean de Montfort, vient attaquer Auray avecl'aide de l'Anglais John Chandos, aux mains des Franco-Bretons depuis 1342. Il entre dans Auray et assiège le château que bloquent par mer les navires de Nicolas Bouchart en provenance du Croisic.
Les vivres venant à manquer, les assiégés acceptent de rendre la place, si les secours n'arrivent pas avant la Saint-Michel.
Le 27 septembre, tandis que Charles de Blois est à l'abbaye Notre-Dame de Lanvaux, Du Guesclin, qui commande l'avant-garde, se trouve à Brandivy. Le 28, du Guesclin vient s'installer sur la rive gauche du Loc'h, envue du château. Pour éviter de se trouver entre le château et l'armée française, Jean IV évacue Auray et se place face à l'ennemi, sur le coteau de la rive droite.
Le 29, des tentatives d'accord ont lieu, sans succès et Charles de Blois ordonne l'attaque. Son armée passe la rivière et se range face au sud. Jean IV suit le mouvement et se range face au nord.
Forces en présence[modifier le code]
Armée franco-bretonne de Charles de Blois[modifier le code]
À gauche le comte d'Auxerre, à droite du Guesclin, au centre Charles de Blois. Une faible réserve qui ne sera pas utilisée.
Armée anglo-bretonne de Jean IV de Bretagne[modifier le code]
À droite Clisson, à gauche l'Anglais Robert Knolles, au centre Jean IVet l'Anglais Chandos. Une réserve importante prête à intervenir.
La bataille[modifier le code]
La bataille d'Auray, d'après la Chronique de Bertrand Du Guesclin par Cuvelier
Une première courte escarmouche oppose les arbalétriers français et les archers anglais. Puis les hommes d'armes se précipitent sans chercher à manuvrer.
Le combat est acharné, car tous veulent que cette bataille soit décisive et mette fin à cette guerre longue et cruelle. De plus la consigne aété donnée de part et d'autre de ne pas faire de quartier à celui des deux prétendants qui viendrait à tomber aux mains de ses ennemis.
Chaque corps anglo-breton est enfoncé, l'un après l'autre, mais les réserves rétablissent la situation. Par contre l'aile droite franco-bretonne plie et, n'étant pas soutenue par les réserves, se replie vers lecentre. L'aile gauche plie à son tour et les troupes de Charles de Blois lâchent pied. Charles, renversé d'un coup de lance, est achevé parun soldat anglais obéissant à la consigne donnée. Du Guesclin, ayantbrisé toutes ses armes, est obligé de se rendre à John Chandos.
Conséquences[modifier le code]
Cette victoire met fin à la guerre de Succession de Bretagne et par le traité de Guérande, en 1365, le roi de France reconnaît Jean IV de Bretagne comme duc de Bretagne.
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[Roglo 2014]
Son contrat de mariage fut fait sous condition que si le duc Jean mourrait sans enfant, Charles de Blois succéderait au duché de Bretagne à cause de sa femme et que leur postérité porterait nom, cri et armes de Bretagne.
Il avait été , aux droits de sa femme, déclaré duc de Bretagne par arrêt des Pairs de France rendu à Confans près Paris le 7 septembre 1341.
Le pape Grégoire XI déclara que l'on pouvait procéder à la canonisation par bulle datée d'Avignon le 12 février 1376, mais comme il mourrut le 16 mars 1377, celle ci n'eut pas lieu ! Le culte rendu au bienheureux Charles de Blois fut reconnu et confirmé par le pape Pie X le 14 décembre 1904.
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LA BATAILLE D'AURAY
Après 25 ans de vains combats et une tentative manquée de partage de la Bretagne (Evran, 1363), la situation s'est radicalisée entre les deux prétendants au trône ducal, Charles de Blois et Jean IV. C'est maintenant une lutte à mort entre eux. Une occasion se présente le 29 septembre 1364, fête de saint Michel, alors que Jean IV assiège la place d'Auray détenue par Charles de Blois depuis 1342.
Personnages : Auxerre, Bertrand Du Guesclin, Caurelée, Chandos,Charles de Blois, Clisson, Knolles, Lesnérac, Montfort, Jean IV de Bretagne, Jean de Rieux
Forces en présence :
Armée anglo-bretonne de Jean IV : 1 500 hommes d'armes, auxquelles s'ajoutent 800 archers, soit environ 8 000 h. répartis en trois "batailles" et une arrière-garde sous l'autorité respective de Robert Knolles (Anglais), Mathieu de Gournay et Olivier de Clisson (Bretons), JeanIV secondé par Jean Chandos (Bretons et Anglais) et Hüe de Caurelée (Anglais) en réserve.
Armée franco-bretonne : 1 000 lances recrutées par Charles de Blois et un contingent équivalent de Normandie par Bertrand Du Guesclin, soit près de10 000 hommes au total, également répartis en trois corps et une arrière-garde, dirigés, le premier par Du Guesclin avec ses compagnons, le second par Auxerre et Joigny (Français), le troisième par Charles de Blois avec tous les seigneurs (Bretons) de son parti et l'arrière garde par Rieux et Tournemine.
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Dès les prémisses du combat les deux armées se sont rapprochées : Jean IV pour se dégager d'Auray afin d'éviter d'être pris à revers par les assiégés, et Du Guesclin pour abandonner la rive droite du Loc'h et traverser la zone marécageuse d'estuaire qui constitue un handicap sérieux pour ses troupes. Le combat véritable s'engage le lendemain matin avec violence et par contact direct à la hache ou à l'épée. Les « batailles » se constituent séparément : Charles deBlois contre Jean IV, Du Guesclin contre Knolles, et Clisson contre Auxerre et Joigny. Dans chacune, les combats singuliers sont multiples et la confusion des combattants inévitable. Les victimes sont nombreuses : les sires de Rochefort, Rieux, Dinan, Tournemine, Montauban, du Pont, Coetmen, Kergolay, Boisboissel, Kergoët sont tués ainsi qu'un grand nombre de personnages moins importants. Olivier de Clisson reçoit un coup de hache sur la tête qui lui crève un il, le comte Auxerre de même et Joigny est gravement blessé. Ces deux derniers sont faits prisonniers par Chandos.
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La bataille de Du Guesclin est particulièrement violente, car ce dernier abat tout devant lui en criant : Notre Dame ! En le voyant, Chandos essaye avec quelques hommes de l'arrêter et le mettre à bas, mais Du Guesclin se relève et d'un seul coup tue Cantorbery, le beau-frère de Chandos. C'est alors que Caurelée, chargé de l'arrière-garde anglaise, mais faisant fi des instructions, contourne le champ de bataille et voyant les hommes de Charles de Blois faiblir, s'engage par derrière eux pour mettre en désordre leur bataille. La bannière de Charles de Blois est jetée à terre. Ce dernier est renversé, pris au bassinet et fait prisonnier. A ce moment, un Anglais inconnu s'approche de lui et contrairement à tous les usages lui assène un violent coup de dague à travers le visage et le tue. Plus tard, il prétendra avoir agi sur ordre, mais un chevalier breton, Pierre Lesnérac d'Escoublac, s'accuse aussi du même forfait. Charles de Blois mort, la bataille s'arrête aussitôt.
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Résultat : Le but de cette bataille terrifiante est atteint :il n'y a plus qu'un seul prétendant au duché. Jean IV de Bretagne, comte de Montfort est déclaré vainqueur. Les pertes des deux cotés sont considérables et le cadavre de Charles de Blois n'est identifié que le lendemain. Quelques mois plus tard le traité de Guérande, ville préférée des Montfort, enregistre sa victoire et précise les nouvelles règles de succession.
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Wikipédia évalue les forces en présence à 4.000 français et 3.500 anglais. 800 à 1.000 morts, 1.500 prisonniers. La bataille d'Auray est la dernière de "la guerre de succession de Bretagne", ma première, Chmptoceaux datant de 1341.
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[Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d'Auray]
LA LEGENDE
La légende voudrait qu'en 1341, Jean III le Bon, duc de Bretagne de l'époque, sauva une sorcière du lynchage. Celle-ci, pour le remercier, lui offrit un jeune lévrier nommé Yoland dont elle déclara qu'il ne serait jamais fidèle qu'au duc de Bretagne. C'est la même année que va s'éteindre Jean le Bon, dont l'héritage revient à Jeanne de Penthièvre, épouse de Charles de Blois depuis 1337; ce qui provoque la colère de Jean de Montfort, frère du défunt Jean III, et se considérant donc comme héritier légitime. C'est alors que va débuter la guerre de Succession de Bretagne. Au cours de celle-ci, Jean de Montfort tombe aux mains des adversaires français et meurt lors du second siège d'Hennebont.Sa femme, Jeanne de Flandre, continue alors à mener le combat et envoie leur fils, Jean IV, âgé de 5 ans, auprès d'Édouard III à Londres,afin de le protéger.
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Au bout de quelques années, Jean IV de Montfort, ayant épousé la fille d'Édouard III, vient continuer le combat face à Charles de Blois, jusqu'à la fameuse bataille d'Auray. Rappelons que Charles de Blois, duc de Bretagne, est donc maître du fidèle Yoland, toujours fringuant vingt trois ans après la mort de Jean III. Les troupes de Charles de Blois sont alors à un jet de pierre de celles de Jean IV. Charles jette un regard à son lévrier fétiche, et Yoland lui rend son regard, d'un air mélancolique. Puis, tout à coup, l'animal se précipite vers les rangs ennemis. Les capitaines de Charles de Blois ne savent que faire. Est-ce un signal d'attaque ? Le chien de la sorcière leur indique t-il lavictoire, ou au contraire la défaite ? Dans le camp de Jean IV onest tout aussi perplexe. Le chien vient il sauter à la gorge du meneur ? Dans le camp des bretons bretonnants, on se souvient également de la prophétie voulant que Yoland n'appartienne qu'au duc de Bretagne.Le lévrier s'approche alors de Jean IV, se dresse sur ses pattes arrières, et vient lécher la main du cavalier: Yoland vient de faire allégeance. Et le soir même, Charles de Blois, n'était plus duc de Bretagne, périt au combat, tandis que le traité de Guérande, signé l'année suivante, fera de Jean IV de Montfort le légitime duc de Bretagne, comme l'avait supposé l'intervention surnaturelle de Yoland. Après le combat, on retrouva le corps de l'animal inanimé, non pas qu'un soldat ait osé porté atteinte à cet être sacré, mais le lévrier ayant rempli sa mission, son cur avait simplement cessé de battre
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Son fils Jean 1er et sa bru Marguerite de Clisson tenteront à leur tourde reconquérir le duché de Bretagne (voir leurs notes) jusqu'à êtrebannis et déclarés félons.
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Descendants remarquables contemporains : Claire BENOIT, Jérôme BESNARD, Alain BEYRAND, Pascale BONNETAUD, Joël COUDERT, Guillaume DE TOURNEMIRE,Bruno DELCOURT, Léonard DESCHAMPS, Dominique DUPUYDENUS, Jean-Paul ETCHEPARRE, Jean-Luc FANTON, Emmanuel FAURE, Paul GONDINET, Gérard GRENIER, Marielle de Noray JOUSLIN, Vincent JUILLE, Catherine JUNGBLUTH, Claude LACOTTE, Guillaume LE FORESTIER-CLÉMENT, Christian LEGROS, Nadine MARTIN, Chantal MARTIN DU PUYTISON, Gérard MATHOUT, François MITTERRAND, Josette MITTERRAND, Christian NENERT, Christian NOCAUDIE, Patrick NOCAUDIE, Olivier PIELOT, Aline PIOT, Frédéric PROUST,Pierre-Charles RAULX, Jean-Pierre ROUSSAUD, Laure SANÇON, Max TARKIN, Jean-Claude VALETTE
Créé le 09/08/2014, modifié le 9/08/2014
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Aperçu de l'arbre
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Prénoms : XXX parents probables mais non certains (explicatif ennote), YYY ascendance sur un autre site (indiqué en note), ZZZ noncousin(e) (mais lien avec plusieurs cousin(e)s) - Mon site généalogique - Explicatif sur les ascendants référents,les descendants pivots, les cousins remarquables -Tous les ascendantsréférents - Tous les cousins remarquables - Contactgen @ pressibus.org - Bon voyage. Alain Beyrand