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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


Comte de Montholon , Député

  • Né le 21 juillet 1783 - Paris, Seine 75, Paris
  • Décédé le 20 août 1853 - Paris, Seine 75, Paris,à l'âge de 70 ans
  • Comte de Montholon, Aide de camp, Commandant, Député

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

I182625
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Tharaud 16/10

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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins avec anecdote familiale
Ses deux épouse furent les maîtresses des empereurs Napoléon 1er et Napoléon III

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DE MONTHOLON-SEMONVILLE
Député de la Charente Inférieure de 1849 à 1851
Comte de l'Empire et de Montholon
Aide de camp du général Augereau, commandant du département de la Loire pendant la campagne de France en 1814. Après la défaite de Waterloo, accompagne Napoléon à Sainte-Hélène
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[Roglo 2014]
Il eut un destin exceptionnel ; il est le seul personnage de l'histoire nationale à avoir partagé la captivité de deux empereurs durant douze ans : celle de Napoléon Ier sur l'Ile de Sainte-Hélène et celle du futur Napoléon III au fort de Ham. Montholon est un authentique aristocrate de vieille noblesse remontant au XIIIème siècle, intelligent, cultivé, discret, spirituel, élégant, d'une grande mouture maisléger, dépensier, voire flambeur, couvert de dettes. On lui attribue un panégyrique dithyrambique que certains contestent. A cinq ans, il est orphelin de son père, Mathieu IV, qui a la charge de "Premier Veneur"de Monsieur, comte de Provence et colonel du régiment de dragons de Penthièvre. Mais la Révolution le dépouille de ce privilège féodal. Adix ans, enfant de troupe à l'école de Brienne, sur la frégate "la Junon", il assiste à la prise du fort de Cagliari en Sardaigne.
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Son beau-père Sémonville, en mission et accompagné de sa famille, fait escale à Ajaccio, où il est l'hôte de la famille Bonaparte. La légende rapporte que Charles aurait reçu alors des leçons de mathématiques de Napoléon, et des leçons de latin de Lucien. Il fait une brillante carrière, surtout comme diplomate où il déploie tact et habileté et il a aussi la chance d'être patronné par son père adoptif le marquis de Sémonville (qui fut maire de Bouray de 1816 à 1830) et par l'ami fidèle de celui-ci, Hugues Maret, duc de Bassano. Sémonville, son mentor hostile à l'empire, le conserve comme atout et observateur dans l'entourage même de l'empereur. [recopié sur la Toile : site de la commune de Bouray-sur-Juine]
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[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles-Tristan_de_Montholon]
À la mort de Mathieu de Montholon, son fils avait six ans. Il fut adopté par son beau-père Charles-Louis Huguet de Sémonville, étonnante figure, surnommé « le vieux chat » par Talleyrand, dont Bonaparte a fait un conseiller d'État, un sénateur, puis un comte de l'Empire. Ce personnage influent, qui a joué un rôle crucial dans la conclusion du mariage autrichien, s'occupa avec soin des enfants de sa femme. Il maria la fille aînée au comte de Sparre, et la cadette d'abord au généralJoubert, puis au général MacDonald ; il adopta les deux garçons. L'aîné, Charles-Tristan, dut à cette protection une rapide carrière : le 7 octobre 1799, à seize ans, il fut nommé adjoint du génie par Championnet ; le 31 mai 1800, il fut promu Lieutenant et détaché comme aide de camp du général Augereau, ce qui lui valut ses galons de capitaine le 3 novembre 1801 ; réformé avec traitement le22 décembre 1801, il fut placé en mission auprès du ministère des Affaires étrangères d'avril 1802 au 30 décembre 1802, date à laquelle il fut nommé aide de camp du général Klein ; le 12 mai 1803, il fut aide de camp de son beau-frère, le général MacDonald.
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En novembre 1804, Sémonville demanda pour lui le grade de lieutenant-colonel ; Berthier en fit la proposition à l'Empereur, en l'appuyant de la chaude recommandation de Maret4 : « Cet officier n'a pasle temps de service nécessaire. », annota Napoléon5. Montholon continua de servir dans les états-majors. Le 11 septembre 1805, il fut affecté à celui de la Grande Armée. Il y obtint la Légion d'honneur le 14mars 1806 et le grade de chef d'escadrons, le 9 janvier 1807. Le 6 septembre 1807, on le trouvait aide de camp de Berthier. Le 13 mai 1809, il fut promu adjudant-commandant (lieutenant-colonel) et le 28 mai suivant,comte de Sémonville, sur transmission du titre de son beau-père qui avait constitué un majorat à cet effet. Le 15 août 1809, il reçut unedotation de 4 000 francs sur les biens du domaine extraordinaire en Hanovre et, le 21 décembre de la même année, il figura sur la grande fournée de chambellans, la même que celle dans laquelle on trouve également Las Cases. Il fit effectivement son service en cette qualité en 1810 et 1811.
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Le 20 janvier 1812, Montholon quitta l'armée pour embrasser grandementla carrière diplomatique en devenant ministre plénipotentiaire auprès du grand-duc de Wurtzbourg, ci-devant grand-duc de Toscane, à la faveur d'une vaste fournée de diplomates.
En 1808, Montholon avait rencontré une jolie femme, déjà divorcée une première fois6, de trois ans plus âgée que lui, Albine de Vassal7, épouse en deuxièmes noces d'un financier genevois, le baron Daniel Roger8. Ce fut un coup de foudre réciproque. Albine quitta le domicile conjugal pour vivre avec Montholon dont elle eut un fils, Napoléon CharlesTristan, né le 3 octobre 1810. Le baron Roger demanda et obtint la séparation de corps le 26 avril 1809, puis le divorce le 26 mai 1812.
Montholon demanda alors la permission d'épouser la jeune femme, mais celle-ci lui fut refusée. Profitant du passage de Napoléon, partant pourla Campagne de Russie, à Wurtzbourg, il eut recours à un stratagème en se faisant accorder un congé pour épouser « une nièce du président Séguier », avocat général à la Cour de Cassation, en omettant depréciser que cette nièce était précisément la jeune femme pour laquelle l'autorisation lui avait été précédemment refusée. Il revint vite à Paris et épousa discrètement Albine dans une petite commune proche de Paris (à Draveil), le 2 juillet 1812.
Cette imprudence lui valut sa destitution lorsque Napoléon découvrit le pot aux roses, sur un rapport dressé par le duc de Rovigo : il ordonna la révocation de Montholon de ses fonctions de ministre plénipotentiaire, qui fut effective le 10 décembre 1812. Montholon dut se retirer en province, et vécut avec sa femme dans un petit château à Changy, près Nogent-sur-Vernisson, dans une situation financière critique, car il semble avoir dilapidé en quelques mois tous les fonds dont il pouvait disposer.
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Après la campagne de Russie, on rappela tous les officiers non employés : en avril 1813, Montholon fut désigné pour se rendre à Metz, comme chef d'état-major de la 2e division du 3e corps de cavalerie légère. Il refusa en invoquant une blessure à la cuisse gauche qui l'empêchait de monter à cheval, ce qui fut vérifié. En septembre de la même année on voulut l'envoyer comme chef d'état-major du prince d'Essling à Toulon, puis le 4 décembre, on l'informa qu'on le mettait à la disposition du général Decaën, commandant en chef dans les Pays-Bas. Il répondit qu'il s'y rendrait « dès que sa maladie le lui permettrait », prétextant une fièvre. Le ministre, lassé de ces esquives, ordonna alors de le faire rechercher. On le trouva à Paris le 22 janvier 1814. Toujours invoquant sa santé délicate, il demanda le commandement d'un département. Le 2 mars, on lui donna celui de la Loire, etil alla rendre visite au préfet, Rambuteau, qui formait des bataillonsprovisoires avec les régiments réfugiés dans son département. Montholon en prit le commandement. Il se dirigea sur la Franche-Comté pour appuyer le maréchal Augereau, dut se replier sur Lyon et Roanne, puis sur Saint-Bonnet-le-Château, où le préfet avait translaté sa préfecture, où il se terra pendant quelque temps, coupé de ses troupes qui battaient la campagne. Un ordre du général Poncet finit par l'en déloger le 2 avril, mais il était bien tard : les Autrichiens avaient pris Montbrison et Roanne le 10 avril. Montholon, en battant en retraite devant l'avance des colonnes autrichiennes, se fit verser par le payeur de Noirétable une « somme de 2 000 francs imputable sur le 1er trimestre 1814 pour ses appointements, plus le mois de décembre 1813 arriéré» ; le 14, à Clermont-Ferrand, il se fit remettre cette fois, par le payeur général du département, 5 970 francs « pour valoir sur la solde des troupes qu'il commandait, l'arrivée de l'ennemi dans uneheure ne permettant pas de régulariser les paiements ».
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Au retour de Waterloo, et bien qu'il ne fût plus chambellan, il se présenta à l'Élysée revêtu de l'habit écarlate à parements d'argent qu'il avait porté en 1810. Le palais était fort désorganisé, presque vide, on l'employa, et il protesta hautement de son dévouement. Quand l'heure du départ sonna, il se glissa dans la suite de l'Empereur.
Il se trouvait avec Napoléon sur le Bellérophon le 31 juillet 1815 lorsque l'Empereur reçut lecture de la note du gouvernement britannique qui le condamnait à être détenu à Sainte-Hélène. Cette note précisait : « On laissera le général Buonaparte choisir, parmi les personnes qui l'ont accompagné au Royaume-Uni, à l'exception des généraux Savary et Lallemand, trois officiers qui, avec son chirurgien, auront la permission de l'accompagner et ne pourront quitter l'île sans l’autorisation du gouvernement britannique. » Profondément abattu, Napoléon refusa d'abord obstinément de désigner les trois officiers qui l'accompagneraient à Sainte-Hélène. En définitive, il désigna les généraux Montholon et Bertrand et le colonel Planat de La Faye, avant que ce dernier ne soit remplacé par le général Gourgaud sur les protestations de celui-ci.
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D'après la thèse du chercheur napoléonien Ben Weider, Montholon serait le véritable responsable de la mort de Napoléon en l'ayant empoisonné à l'arsenic. La thèse s'appuyait notamment sur le fait que, à Sainte-Hélène, Montholon avait été surnommé "le Menteur" et donc étaitconnu comme un personnage douteux20. Toutefois, cette thèse est contredite par plusieurs historiens et chercheurs.
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[http://napoleon1er.perso.neuf.fr/Conference4.html]
Fils de Mathieu de Montholon et d'Angélique de Rostaing, né à Paris le 21 juillet 1783. Son père décéda en 1788 et sa mère épousa Charles-louis de Sémonville qui adopta les quatre enfants. Celui-ci est, en 1792, nommé ambassadeur auprès de Sélim III à Constantinople. Il y part avec sa famille mais est bloqué en Corse par la flotte anglaise. A Ajaccio, ils sont accueillis par la famille Bonaparte. Chambellan en même temps que las Cases et Montalembert en 1809, après une rapide carrière militaire et diplomatique essentiellement due à la protection de Sémonville, il se voit arrêté à cause de son mariage avec sa maîtressedivorcée, Albine de Vassal.
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En janvier 1814, vu le besoin pressant en officiers et cadres, il est réintégré dans l'armée en tant que commandant militaire du département de la loire. C'est ici qu'éclate une opération à la limite de la légalité. A l'approche de l'ennemi, le 14 avril 1814, il se fait remettre une somme de 5.970 francs de la caisse du payeur général du Puy-de-Dôme pour soi disant payer la solde de ses troupes. Le fonctionnaire réussit à lui faire signer un reçu. La cour des Comptes, huit ans plus tard, à son retour de Sainte-Hélène, lui demandera les justificatifs. Louis XVIII, revenu aux Tuileries lors de la première Restauration, Montholon lui fait acte d'allégeance et obtient le grade de général de brigade et est nommé chevalier de l'Ordre de Saint-louis. Il se jette dans l'aventure des Cent-Jours (Il ne connaîtra pas Waterloo, ayant éténommé à la tête d'une brigade de défense de Paris ) et s'embarque pour l'exil à Sainte-Héléne (il aurait été nommé aide de camp de l'Empereur, le 23 juin 1815, par le maréchal Davout alors ministre de la guerre et chef d'état-major, mais on ne trouve pas trace de cet ordre).
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[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles-Tristan_de_Montholon]
Ce fut Montholon qui ferma les yeux à l'Empereur. Dans le testament de l'illustre captif on lisait ce qui suit :
« Je lègue au comte de Montholon deux millions de francs comme une preuve de ma satisfaction des soins filials qu'il m'a donnés depuis six ans.
Je lègue au comte Bertrand cinq cent mille francs.
Je lègue à Marchand, mon premier valet de chambre, quatre cent mille francs. Les services qu'il m'a rendus sont ceux d'un ami. Je désire qu'il épouse une veuve, sœur ou fille d'un officier ou soldat de ma vieille Garde.
J'institue les comtes Montholon, Bertrand et Marchand, mes exécuteurs testamentaires, etc., etc. »
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Le 27 mai 1821, Montholon et les derniers compagnons de Napoléon embarquaient sur le Camel qui faisait voile vers l'Europe. Le 25 juillet, alors que le bateau entrait dans les mers d'Europe, Montholon ouvrit le testament. On arrêta le compte de la succession, qui laissa un reliquat de145 000 francs qui fut partagé entre les trois exécuteurs testamentaires. Montholon retrouva Paris en octobre.
Il mena d'abord grand train, entre son hôtel à Paris, rue Chantereine, 52, et son château de Frémigny, près d'Arpajon. Peu de temps après son retour en France, lui et sa femme s'étaient séparés : la liquidation de la communauté fut prononcée par le tribunal civil de laSeine le 23 février 1828.
De concert avec Gaspard Gourgaud, son ancien ennemi, ils éditèrent lesMémoires pour servir à l'histoire de France sous Napoléon (8 vol., 1822-1825). Des spéculations eurent tôt fait d'engloutir les legs de l'Empereur. Il fit banqueroute en juillet 1829 ; condamné à la prison pour dettes par jugement du tribunal de commerce de la Seine du 31 juillet 1829, il s'enfuit à l'étranger et dut attendre sa réhabilitation jusqu'en 1838. La monarchie de Juillet, bienveillante aux bonapartistes, lui rendit son grade, le 22 mai 1831, mais sans l'employer. Il fila à Londres pour échapper à ses créanciers, et intrigua avec Louis-Napoléon Bonaparte. En 1840, on le vit non pas le 7 juillet s'embarquant sur la Belle Poule pour se joindre à l'expédition du retour des cendres, mais, un mois plus tard au désastreux débarquement de Boulogne-sur-Mer le 6 août. Cette aventure lui valut d'être condamné par un arrêt de la Cour des Pairs du 6 octobre 1840 à six ans de forteresse à Ham. Son ami Gourgaud, très en cour sous la monarchie de Juillet, l'en fit sortir le 10 juillet 1846 après l'évasion de Louis-Napoléon Bonaparte.
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À Ham, Montholon s'occupa à rédiger l'ouvrage qu'il publia en 1846 sous le titre Récits de la captivité de l'Empereur Napoléon à Sainte-Hélène, précédée d'une notice biographique de fantaisie, pourtant reproduite quasi-intégralement par de nombreux ouvrages ultérieurs. Le fidèle valet de chambre de l'Empereur, Marchand, lui fit quelques observations respectueuses, auxquelles il répondit en l'engageant à l'aider à rectifier ses erreurs lorsqu'on ferait une seconde édition mais il n'y en eut pas car l'ouvrage n'eut guère de succès.
À Ham, Montholon avait un appartement au rez-de-chaussée d'un petit bâtiment sur la cour, au premier étage duquel logeaient Louis-Napoléonet le Dr Conneau. Montholon et Louis-Napoléon vécurent ainsi dans l'intimité pendant six ans. Ils dînaient ensemble presque tous les soirs, terminant la soirée par des parties de whist dont l'ennui ne le disputait pas aux parties d'échecs de Longwood. Pour la seconde fois, Montholon partageait la captivité d'un Bonaparte ; sans doute adoucissait-il celle du neveu en lui racontant l'exil de l'oncle ; il était dit qu'il accompagnerait dans leurs prisons les deux membres les plus remarquables de la famille. Les conditions de captivité réservaient quelques souplesses : une irlandaise, Caroline O'Hara (1802-1886), qui avait été la maîtresse de Louis-Napoléon, passa de celui-ci à Montholon, ou vice-versa, on ne sait trop ; elle vivait pour ainsi dire à demeure ; le général lui fit d'abord un enfant, en avril 184323, puis l'épousa, en 1849 après la mort d'Albine, survenue en 1848.
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Montholon fit partie du comité national de soutien à Louis-Napoléon Bonaparte pour l'élection présidentielle de 1848 et, en mai 1849, il se fit élire à l'Assemblée législative dans le département de la Charente-Maritime. Napoléon III n'oublia pas entièrement, contrairementà ce qu'on a dit, leur équipée et leur captivité commune : Montholon, ruiné, reçut un don de 50 000 francs, en avril 1852 ; lamême année, il fut réintégré dans son grade de général de brigade et, l'année suivante, devint comte de l'Empire.
Il ne survécut pas longtemps à l'avènement du Second Empire : il mourut à Paris le 20 août 1853, âgé de soixante-dix ans. Ses enfants demandèrent vainement à Napoléon III qu'il soit inhumé aux Invalides, comme le général Bertrand. Depuis, il repose dans le caveau familial du cimetière de Bouray-sur-Juine dans l'Essonne .
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[Roglo 2014]
Mariages et enfants
Relation vers 1808 avec Emilie Hélène Backminska, dont
  • Napoléon Charles Tristan 1810-1831
Marié le 2 juillet 1812, Draveil (Essonne), avec Albine de Vassal1779-1848 (mariage religieux célébré le 27.01.1813 en l'église de Chaillot à Paris - 75), dont
  • Charles Frédéric 1814-1886
  • Napoléone 1816-1907
  • Joséphine 1818-1819
Relation avec Hélène Gardon, dont
  • Charles Pierre Brosset 1823-1872
Marié le 16 août 1848, Paris, avec Caroline Jane O'Hara 1801-1886, dont
  • Charles Jean Tristan 1843-1899
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Voir la note de son épouse Albine de Vassal, qui aurait été la 51èmeet dernière maîtresse de Napoléon...
Page Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles-Tristan_de_Montholon
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Créé le 27/07/2014, modifiéle 14/10/2016

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

      Pierre DE LUR-SALUCES, Baron de Drugeac 1702-1780 Angélique DE TARNEAU, Dame d'jhonneur de la comtesse de Toulouse 1708-1788
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  Philippe DE ROSTAING Marie Henriette DE LUR-SALUCES
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Mathieu DE MONTHOLON, Marquis de Montholon 1753-1788 Angélique Aimée DE ROSTAING †1842
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Charles Tristan DE MONTHOLON, Comte de Montholon 1783-1853