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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


  • Né le 1er juin 1888 - Cigogné, Indre et Loire 37, Indre et Loire
  • Décédé le 24 septembre 1914 - Cheppy, Meuse 55, Meuse,à l'âge de 26 ans

 Parents

 Fratrie

 Notes

Notes individuelles

I17859
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Touchelet 10/6, Besnard 11/8, Desale 13/10

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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins des temps de guerre
Il a été porté disparu au combat en 1914. Est-ce lui le soldat inconnu ?

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Soldat au 331ème régiment d'infanterie, il est mort pour la France, disparu au combat à Cheppy dans la Meuse. Ce jugement a été rendu le 21août 1920 à Tours, et transcrit le 14 octobre 1920 à Cigogné.
------- Peut-on dire que ce soldat disparu est devenu le soldat inconnu ? A lire le récit qui suit (en provenance du Quid, http://www.quid.fr/2000/Q050230.htm), le soldat inconnu provient de Verdun (6ème des 8 chanmpsde bataille sités).
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Tombe du Soldat inconnu
  • 26-11-1916 : F. Simon (Pt du Souvenir français de Rennes) propose de choisir le corps d'un soldat français tué et non identifié.
  • 12-7-1918 Maurice Maunoury (député d'E.-et-L.) propose d'élever un tombeau au soldat anonyme.
  • 7-12-1918 M. Crescitz (Pt de la Sté française de Berne) propose àClemenceau le transfert au Panthéon de corps de soldats inconnus.
  • 12-11-1919 la Chambre des députés décide que le corps d'un soldatinconnu sera transporté au Panthéon.
  • 1919-1920 campagne de presse (le Journal, le Matin) pour l'inhumation d'un soldat inconnu sous l'Arc de triomphe.
  • 2-11-1920 projet de loi, déposé par le gouvernement de Georges Leygues, prévoyant le Panthéon.
  • 8-11-1920 loi votée (à l'unanimité par les 2 Chambres) prévoyantde rendre les honneurs du Panthéon aux restes du soldat inconnu et de les inhumer sous l'Arc de triomphe le 11-11. André Maginot (ministre des Pensions) ordonne aux 9 commandants de Région de faire exhumer " dansun point de chaque région pris au hasard et qui devra rester secret, le corps d'un soldat identifié comme Français, mais dont l'identité n'aura pu être établie ". Le corps sera placé dans un cercueil de chêne et dirigé en auto sur Verdun, 8 cercueils arrivent à Verdun le 9-11 d'Artois, Somme, Ile-de-France (sans doute Ourcq ou Marne), Chemin-des-Dames, Champagne, Verdun, Lorraine, Flandres  ; dans la 9e région on n'a pu identifier la nationalité du corps exhumé.
  • 10-11 le corps est choisi. Le soldat Auguste Thin (+ 10-4-1982  ; fils d'un père disparu, originaire de Caen, engagé volontaire de laclasse 19, un des rares survivants du 132e Régiment d'infanterie) dépose sur le 6e cercueil un bouquet (½illets rouges et blancs) cueilli àVerdun. Il a additionné les chiffres du no de son régiment : 1, 2, 3. Le cercueil choisi est conduit à la gare de Verdun sur un affût de canon et les 7 autres sont inhumés dans le cimetière du Fg Paué.
  • 11-11 après une cérémonie au Panthéon, le cercueil est déposéà l'Arc de triomphe de l'Étoile, à Paris, où, après une autre cérémonie, il est placé au 1erétage, en attendant d'être transporté danssa tombe (28-1-1921).
  • 21-1-1921 Gabriel Boissy (1879-1949) propose de faire brûler une flamme en permanence et Jacques Péricard de faire ranimer celle-ci chaquejour par des anciens combattants. Sur les plans de l'architecte Henri Favier, le ferronnier Edgar Brandt exécuta ce dispositif. La flamme surgit d'un canon braqué vers le ciel, encastré au centre d'une sorte de rosace représentant un bouclier renversé dont la surface ciselée est constituée par des épées formant étoile.
  • 11-11-1923 André Maginot allume la flamme.
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Tous les jours à 18 h 30, une, ou plusieurs Stés d'anciens combattants, vient raviver cette Flamme du souvenir (alimentée au gaz en veilleusejour et nuit). Au cours de la cérémonie on actionne le robinet d'ouverture avec une épée : une flamme jaillit et la fanfare donne la Sonnerie aux morts (Last Call) en usage dans les pays anglo-saxons.
======================================================================================================================================================================================Ascendant référent René ROGUET
Ascendant référent Jean (1) XXX TOUCHELAY
Ascendant référent Père de François GIROLLÉ
Ascendant référent Père de Laurent GIRARD
Ascendant référent Pierre DANGÉ

Créé avant le 05/05/2009, modifié le 23/06/2015

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

    Etienne TOUCHELAY 1792-1858/ Françoise MOREAU 1790-  
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  Etienne TOUCHELAY 1819- Virginie DESOUCHES
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Michel Auguste DOUARD Marie TOUCHELAY 1858-
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Georges René DOUARD 1888-1914