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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


  • Maître chirurgien

 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

I75630
Parenté(s) (voir conjoint) de branche(s) et degré(s) : Hamelin 12/3'

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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins avec descendance ou cousinage remarquable
Oncle du célèbre chirurgien Pierre Bretonneau, il est maître chirurgien du Prince de Rohan

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Fils de Jean et Jeanne ARTELOUP
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Maître-chirurgien de Son Altesse Monseigneur le Prince Jules Hercule Meriadec de Rohan, prince de Guéméné (1726-1788), duc de Montbazon, pair de France.
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Parfois l'hôpital Bretonneau de Tours est appelé hôpital Jean Bretonneau, pourtant c'est bien son neveu qui y a exercé (fils de Pierre 1742-1811 & Catherine Rambault 1739-1776).
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Pierre Fidèle Bretonneau est né à Saint-Georges-sur-Cher le 3 avril 1778 et mort le 18 février 1862 à Passy.
Médecin français du début du xixe siècle, professeur à l'École de médecine de Tours, médecin en chef de l'hôpital de Tours, botaniste, auteur de nombreux traités de médecine.
Portrait du docteur Bretonneau in Le Monde médical de Touraine sous la Révolution (par René Dubos) :
C'est en reliant le caractère de chaque maladie à une cause précise que Bretonneau prépara les médecins à l'avènement des sciences bactériologiques et permit ainsi à la doctrine de la spécificité de s'enraciner profondément dans la philosophie médicale.
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Ses talents de botaniste l'ont amené à offrir au jardin botanique de Tours (face à l'hôpital) un somptueux ginkgo biloba...
Il fut également maire de Chenonceaux de 1803 à 1807 et l'ami de Pierre-Jean de Béranger
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Ses épouses et enfants
Il se maria en 1801 à Paris avec Marie Thérèse Adam, lectrice de Louise Marie Madeleine Fontaine, fille naturelle de Claude Dupin, propriétaire de la Renaudière à Chenonceaux (la Renaudière est actuellement unhôtel-restaurant), où il s'intalla. Très curieux et habile de ses mains, il disposait d'un laboratoire, s'occupait de jardinage et d'activités manuelles.
Bretonneau se remarie en 1856 à Paris avec la nièce d'un de ses anciens élèves, Sophie Moreau (1837-1918). Cette union entre un vieillard desoixante-dix-neuf ans et une jeune fille de dix-neuf ans fait d'ailleurs scandale. Les rumeurs vont aussi bon train, quatre ans plus tard, quand l'épouse du docteur donne naissance à un fils, déclaré certes comme étant le fils de Bretonneau, mais portant le prénom du comte Justinien-Nicolas Clary, amant de la jeune femme. Selon certaines sources, Pierre Bretonneau aurait en réalité, comme le banquier Récamier avec Juliette, épousé sa fille cachée afin qu'elle puisse hériter de lui. Cela expliquerait la complaisance dont il aurait fait preuve lors de de la naissance de ses deux enfants officiels qu'il déclare lui-même à la mairie, accompagné pour le second par le père probable, Justinien Clary. Ils seraient donc en réalité ses petits-fils.
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Sa famille
Les ancêtres de Pierre Bretonneau sont tous médecins, chirurgiens, ou maîtres-apothicaires pendant huit générations. Ils se marient avec des filles de membres du corps médical. Leurs fils et leur gendres sont eux-aussi médecins ou chirurgiens.
Pierre Fidèle Bretonneau est né le 3 avril 1778 à Saint-Georges-sur-Cher, en Touraine. Son père, Pierre Bretonneau (1741-1811) est maître-chirurgien à Saint-Georges-sur-Cher.
L'un de ses oncles, Jean Bretonneau, est maître-chirurgien de Son Altesse Monseigneur le Prince Jules Hercule Meriadec de Rohan, prince de Guéméné (1726-1788), duc de Montbazon, pair de France. Un autre de ses oncles, Pierre Mahiet, est maître-chirurgien à Savonnières.
Son père épouse en secondes noces en 1776 Marie-Élisabeth Lecomte (1744-1814), fille d'un notaire.
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Ascendant(s) référent(s) pour conjoint

Créé avant le 16/08/2007

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