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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


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    Notes individuelles

    I214072
    Parenté(s) (branche, degré) : Peleau 11/9

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    Il est un "cousin remarquable" dans la catégorie Cousins célèbres
    "En direct avec vous, voici Jean Nocher !", c'est lui le chroniqueur radio des années 50 et 60

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    [page Wikipédia 2016 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Nocher]
    Jean Nocher, de son vrai nom Gaston Charon, né le 27 septembre 1908 à Poitiers et mort le 24 juin 1967 à Bougival, est un journaliste et polémiste français.
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    Après avoir été élève à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm (Lettres), Jean Nocher devient journaliste de presse en 1934 après une lettre publiée dans L'Œuvre et suivie de différents articles dans ce même journal qu'il quittera après la publication, le 4 mai 1939, de l'article de Marcel Déat « Mourir pour Dantzig ? ».
    Dès 1940, il fonde à Saint-Étienne les premiers noyaux de résistance, devient chef départemental du mouvement Franc-Tireur, organise les premiers groupes francs de la Loire, reçoit les premiers parachutages et ouvre la voie au célèbre terrorisme. En décembre 1941, il y fonde le premier journal clandestin de la région, L'Espoir.
    Le 29 septembre 1942, il est arrêté à Saint-Étienne avec une quinzaine de ses compagnons de lutte et enfermé à la prison Saint-Paul, livré à la Gestapo et incarcéré à la prison Montluc. Jugé par le premier et le seul « Tribunal d'état » où Joseph Darnand ait siégé commevice-président, et acquitté faute de preuves grâce au talent de Maître de Fraissinette, futur déporté et maire de Saint-Étienne, Nocher est finalement libéré après un nouveau séjour de neuf mois dans un camp d'internement à Évaux-les-Bains6. Fin 1943, il retourne dans le Forez et reprend la lutte. En août 1944, il rédige le dernier Franc-tireur clandestin.
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    Il commence sa carrière à la radio publique française peu après la Libération. En 1946, il est contraint de quitter son poste à la suite d'une émission dénommée Plate-forme 70 sur le danger du nucléaire, mise en onde sous forme de reportage, et dont le générique est « oublié » ; l'émission tronquée crée une panique chez les auditeurs. Cet épisode marque le début de son intérêt pour la littérature d'anticipation et pour le danger de la guerre nucléaire qu'il développera par la suite.
    Il rejoint l'Union démocratique et socialiste de la Résistance avant d'en être exclu en 1948 par Eugène Claudius-Petit. Nocher devient alorsl'un des principaux rédacteurs de L'Étincelle, journal du Rassemblement du peuple français (RPF), le parti fondé par Charles de Gaulle en 1947. Ses articles contribuent à donner une image radicale et droitièredu RPF, comme l'ont noté Jean Lacouture puis Éric Roussel dans leurs biographies du Général. Ainsi, en octobre 1947, il écrit, à propos de Jean-Paul Sartre : « Enterrons cette pourriture et que la jeunesse se lève pour donner un autre souffle à la France. Une morale qui nemène pas à coup sûr au plagiat, au masochisme, à l'inceste, à la pédérastie, […] à l'opiomanie, à l'onomatopisme, à la psychasthénie scatologique […], à la démence précoce, à l'impuissance psychique. L'heure va sonner où une autre école rendra à la France son vrai visage : un visage au regard droit, monsieur Jean-Paul Sartre. »
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    Du 17 juin 1951 au 1er décembre 1955, il est député de la Loire, sousl'étiquette du Rassemblement du peuple français (RPF).
    En 1958, il revient dans l'audiovisuel public. Il tient une chronique quotidienne En direct avec vous jusqu'à sa mort. Il anime des émissions sur la Résistance. Il est devenu célèbre pour ses chroniques quotidiennes et les séries d'émissions radiophoniques de science-fiction En direct du futur.
    Créé le 09/11/2016
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    Ascendant pivot, son SOSA 3 (mère) est Marie AUGEREAU (cousinage(s)) avec pour ascendant(s) référent(s) Guillaume AUSMONIER, Jacques MARZELIER, Pierre BARDON

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    Jean CHARON, Député