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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


     Union(s)

     Notes

    Notes individuelles

    I184619
    Parenté(s) (voir conjoint) de branche(s) et degré(s) : Beyrand 22/17', Desbordes 21/14', Tharaud 20/14', Demoulière 26/17', Jacquemard19/13', Renvoyé 20/13', Plumency 24/19', Hamelin 23/16', Desale 17/12', Touchelet 22/15', Chidaine 16/11'

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    Elle est une "cousine remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins avec descendance ou cousinage remarquable
    Elle estla mère de Sarah Bernhardt, la célèbre actrice, mais qui était son père ?

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    Maîtresse du duc de Morny
    Sur sa page http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarah_Bernhardt, Wikipédia présente Sarah Bernhardt de cette façon :
    Henriette-Marie-Sarah Bernhardt dite Sarah Bernhardt, née à Paris vraisemblablement en octobre 1844 et morte dans la même ville le 26 mars 1923, est une des plus importantes actrices françaises du xixe siècle etdu début du xxe siècle.
    Appelée par Victor Hugo « la Voix d'or », mais aussi par d'autres « la Divine » ou encore l'« Impératrice du théâtre », elle est considérée par beaucoup comme une des plus grandes tragédiennes françaises du xixe siècle. Première « star » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré ».
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    Puis on passe à ses parents :
    La mère de Sarah, Judith-Julie Bernardt1 (1821-1876), modiste sans le sou et fille d'un marchand de spectacles néerlandais juif itinérant, était une courtisane parisienne connue sous le nom de « Youle ». On ignore qui était son père, Sarah ayant longtemps gardé le silence sur son état civil.
    Du fait de la destruction des archives officielles lors des évènementsde la Commune de Paris, la date de naissance de Sarah Bernhardt est incertaine et débattue. Si ses biographes donnent habituellement les dates22 ou 23 octobre 1844, il existe des propositions la situant en juilletou septembre de 1844, voire en 1843 ou même en 1841. En outre, pour faciliter les démarches d'obtention de la Légion d'honneur et prouver lanationalité française de l'actrice, un acte de naissance rétrospectif est établi par décision de justice le 23 janvier 1914, sur base d'uncertificat de baptême produit par Sarah Bernhardt bien que la falsification de celui-ci n'ait trompé personne, pas même les magistrats. Celui-ci est ainsi daté du 25 septembre 1844 et affecté aux registres du 15e arrondissement de Paris. Dans ce faux, elle se déclare fille de Judith van Hard et d'Édouard Bernardt un père qui, selon ses différentes versions, appartenait à une riche famille d'armateurs du Havre, ou y était un étudiant en droit. Certaines sources évoquent un officier de marine havrais, du nom de Morel. Mais son père reste inconnu.
    De même le lieu de sa naissance n'est pas plus sûrement établi :une plaque mentionnant sa naissance est apposée au n°5 de la rue de l'École-de-Médecine, on évoque également la rue Saint-Honoré - au 32ou au 26 - ou encore le 22 de la rue de la Michodière.
    Ses prénoms - Henriette-Marie-Sarah - sont également parfois présentés dans un ordre différent selon les sources, certaines indiquant « Sarah-Marie-Henriette » ou encore « Henriette-Rosine Bernard », suivantle nom qu'elle avait donné lors de son inscription au Conservatoire, « Rosine (dite Sarah) ».
    Une certaine inclination de l'actrice à la fabulation concernant sa vien'a pas aidé à démêler ces différents écheveaux.
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    Puis son enfance :
    Sarah Bernhardt eut au moins trois sœurs et souffrit en particulier longtemps de la préférence de sa mère pour sa jeune sœur Jeanne-Rosine,également comédienne. Délaissée par Youle qui choisit la vie mondaine à Paris, elle passe une petite enfance solitaire chez une nourrice à Quimperlé où elle ne parle que le breton. Le duc de Morny, l'amant de sa tante, pourvoit à son éducation en l'inscrivant dans l'institution de Mlle Fressard puis en 1853 au couvent des Grand-Champs à Versailles. Elle y devient mystique catholique. Elle y joue son premier rôle, un ange dans un spectacle religieux. De confession juive, elle reçoit lebaptême chrétien en 1857 et envisage de devenir religieuse.
    C'est alors que son nom aurait été francisé en « Bernard »[réf. nécessaire] et qu'elle quitte vers quatorze ans la vie monacale et passe le concours du Conservatoire où elle est reçue. « Tout le monde m'avait donné des conseils. Personne ne m'avait donné un conseil. On n'avait pas songé à me prendre un professeur pour me préparer ».
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    Sur la page http://france.gelbert.free.fr/text/sarah.html :
    Perpétuellement exclue d'un milieu familial extravagant, affligée d'une mère et d'une tante exerçant le métier de «courtisane».
    De son enfance, il n'est question que de querelles, disputes, éloignement d'un appartement couvert d'oripeaux et de poussière, dans lequel évoluent curieusement des personnages illustres !
    Parmi ceux-ci, le demi-frère de Napoléon III (vous savez, le fils qu'eut la reine de Hollande, Hortense de Beauharnais avec un dénommé Flahaut). Il s'agit du comte de Morny fait duc par son impérial demi-frère... eh ! bien, voyons, il faut savoir profiter de la proximité dupouvoir !
    Se heurtaient à lui dans l'escalier sombre de l'immeuble, Alexandre Dumas, le compositeur Rossini, etc...
    Morny s'occupa de Sarah, en tout bien tout honneur, enfin on l'espère ! Il paya une partie de ses maigres études à la grande joie de la mère et de la tante israëlites Von Hardt. Julie, la mère de Sarah s'était mariée, paraît-il, d'où le nom de Bernard. La soeur de Julie, Rosine, resta célibataire.
    Les deux illustres dames n'avaient point le temps, ni le goût sans doute de s'occuper d'une petite fille dotée d'un caractère vraiment difficile voire acariatre et s'en débarassaient en la casant chez des nourrices.
    Qui fut son géniteur ? Question intéressante ! des bruits ont couru : Pourquoi pas Alexandre Dumas père ? Sarah, avec sonteint mat et sa célèbre chevelure indisciplinable ?
    Ou Morny ? Non.
    Plutôt un «hôte» de passage... un marin ?
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    Sur la page http://teleobs.nouvelobs.com/la-selection-teleobs/20130805.OBS2274/secrets-d-histoire-sarah-bernhardt-sa-vie-ses-folies.html

    La future et inoubliable interprète de « la Dame aux camélias », de « Phèdre » ou de « l'Aiglon » est née à Paris en 1844 de Judith-Julie Bernhardt, juive d'origine hollandaise, et de père inconnu. Sa mère, petite modiste et demi-mondaine, ne s'intéresse pas à cette enfantchétive et rebelle dont les cheveux cuivrés, presque crépus, la fontsurnommer « la Négresse blonde ». La fillette est élevée en Bretagne par une nourrice. A 7 ans, celle qui déclamera Racine et Rostand ne sait ni lire ni écrire. C'est un amant de sa mère, le duc de Morny quise charge de la faire éduquer. La petite apprend aussi à sculpter. A 16 ans, elle obtient le prix de l'Académie des Beaux-Arts. Elle est alors revenue chez sa mère qui hésite entre la transformer en cocotte ou la marier à un bon parti. Sur recommandation de Morny, l'adolescente entre au Conservatoire d'Art dramatique de Paris, puis rejoint la Comédie-Française. Mais elle préfère mener seule sa carrière. Avant de triompher dans « Ruy Blas », en 1872, l'actrice vivra quand même de ses charmes. A 20 ans, elle met au monde Maurice, le fils adoré. Hormis un mari, Aristides Damala, attaché d'ambassade grec de neuf ans son cadet, on ne connaît à cette icône de l'Art nouveau et de la Belle Epoque qu'une ribambelle d'aventures dont raffolera la presse jusqu'à sa mort, en 1923. Elle a 78 ans.
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    Sur http://www.amopa.asso.fr/pdf/articles/revue188_forestier.pdf :
    On sait peu de chose sur les origines de la comédienne. Sa mère, Judith Van Hard -surnommée Youle-, et Rosine, la sœur de celle-ci, sont d'une famille d'Amsterdam et deviendront de parfaites demi-mondaines, avec équipages et appartement rue Saint-Honoré. Et le père? Car il en fautbien un. Nous ne savons au juste qui il est, est-ce un armateur, ou un simple étudiant du Havre, du nom de Morel? Toujours est-il qu'un notaire du Havre (on se croirait dans un roman de Duhamel) assistait au conseil de famille réuni pour décider de l'avenir de la jeune fille.
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    Dans le livre "La Divine, le roman de Sarah Bernhardt" par Michel Peyramaure, http://books.google.fr/books?id=lx1CtKxCAYwC&pg=PT42<pg=PT42 :
    Je me suis longtemps interrogé sur la paternité de Sarah. Ce n'est quepar bribes et recoupements que j'ai pu reconstituer un tissu d'hypothèses plus ou moins crédibles mêlées à quelques certitudes.
    J'ai balayé une conjecture qui, d'emblée, me parut suspecte : Sarah ne pouvait être la fille du Duc de Morny ou d'Alexandre Dumas, commecertains se sont plu à le répandre. En dépit de l'affection qu'ils lui vouaient et, pour l'écrivain en particulier, d'une vague ressemblance : teint mat et chevelure indisciplinable, rien de plausible ne confirme cette version.
    Plus vraisemblable :Sarah, fruit des amours de Julie et d'un étudiant du Quartier Latin, Edouard Bernard, mais cette hypothèse manque de références fiables. On en trouve de plus sérieuses avec un officier de marine du Havre nommé Morel : à sa mort, à Pise, alors que Sarah était adolescente, il lui a légué une somme importante pour le jour oùelle se marierait.
    Sarah n'a guère parlé de l'étudiant. En revanche, elle se montre prolixe à propos de l'officier de marine. Elle prétend l'avoir rencontré à plusieurs reprises et se souvient s'être promené avec lui, main dans la main, autour de sa villa de Sainte-Adresse, proche du Havre, mais je me suis toujours méfiée de son goût pour la fabulation : elle a pu chercher à s'inventer un père, à partir de quelques éléments réels. Le personnage de l'officier de marine semble lui convenir ; elle a pu broder une dentelle imaginaire autour de lui...
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    Ascendant(s) référent(s) pour conjoint

    Créé le 20/08/2014, modifié le 10/11/2016

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