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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


  • Née le 3 juin 1747 - Trancault, Aube 10, Aube
  • Décédée le 15 juillet 1794 - Paris, Seine 75, Paris,à l'âge de 47 ans

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

 Notes

Notes individuelles

I188793
Parenté(s) (voir conjoint) de branche(s) et degré(s) : Beyrand 25/18', Desbordes 24/16', Tharaud 23/16', Demoulière 28/20', Plumency 24/21', Desale 25/18', Touchelet 27/18', Chidaine 24/18', Jacquemard 19/10', Renvoyé 20/10'

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Elle est une "cousine remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins des temps de guerre
En messidor an II, elle est dans un lot de 22 guillotinés, pour être femme de noble

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Fille de Nicolas, conseiller du roi, fermier général de la seigneurie de Villeneuve-Saint-Maurice, et Agathe MOUSSET
Morte guillotinée
Son mari fut "condamné à mort le 6 nivôse an 2 par la commission révolutionnaire de Lyon", mais échappa à la guillotine et vécut jusqu'en1802.
Son fils François Maximilien venait d'être désigné pour le grade de capitaine lorsqu'il fut destitué comme noble le 7 ventôse an II (25/2/1794)
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"Marie-Cécile de Brunel de Serbonnes, née Tarin, était une femme recommandable par ses vertus et sa grande piété, uniquement occupée des devoirs qu'elle avait à remplir envers son mari et ses enfants. Elle futcondamnée comme conspiratrice pour avoir favorisé l'émigration de son fils."
[Histoire générale et impartiale des erreurs, des fautes et des crimescommis pendant la Révolution Française. Paris an V de la République - Bulletin de la société archéologique de Sens (1897)]
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Elle figure dans la liste qui suit.
Dans la seconde section (salle de la Liberté), vingt-deux condamnations :
  • Louis-François Df.sreaulx, ex-noble : lettres de famille, nulle correspondance au debors. Il s'était opposé à l'émigration deses enfants et n'avait pas correspondu avec eux;
  • Huet d'Ambrun et J.-J. Lyon, son domestique. Voy. p. 32;
  • François-Denis Millet, ex-chanoine. Voy. p. 34;
  • Jeanne Fougère femme Chadoteau. Yoy. ibid.
  • Jacques Lamdriquet, garçon de chambre de Monsieur. Voy. ibid.
  • Claire-Tbérèse Bourdelois veuve d'Aubin (cinquante et un ans), et sa fille Jeanne-Claire-Scholastique d'Aubigny (trente ans), femme divorcée de Joseph Le Maillot de Port, maître particulier des eaux et forêts, étaient coupables des mêmes crimes : correspondances (elles n'en avaient pas eu à l'étranger); fanatisme : on avait trouvé chez elles diverses reliques, entre autres une image du Saint Clou, imprimée sur soi.
  • Charles-Gilbert Lachapelle, ci-devant premier commis du ministre Laporte, et tout naturellement son complice.
  • Joseph Chabran, palefrenier du ci-devant général Laferrière, condamné le 9 floréal : il était accusé de complicité avec lui. Une aubergiste déposait que, feignant d'être de son opinion, elle lui avait fait exprimer ses sentiments sur les prêtres insermentés, sur l'insurrection religieuse et sur les
dispositions du général Laferrière, son maître, qui n'attendaitqu'un bon moment pour tomber sur les républicains
  • André-Dominique Bourbonne, ex-colonel de gendarmerie;
  • Marie-Colombe Legris sa femme, et Edme-Antoine Legris (soixante et onze ans), son beau-père, accusés d'avoir poussé des parents à l'émigration. Bourbonne, dans un mémoire justificatif, montrait combien celte imputation était dénuée de fondement
  • François Paris, employé au bureau d'état- major du 2* bataillon, accusé « de manœuvres tendant à soustraire des effets appartenant àla nation et provenant des émigrés : » on le soupçonnait d'être agent de l'émigré Maniât, pour lui faire parvenir de son avoir tout ce qu'il pourrait.
  • Louis-René Vauquois, employé aux fermes, pour abus de pouvoir;
  • André-François Fortin, ex-capitaine de la gendarmerie des tribunaux;
  • Marie-Cécile Tarin, femme Brunelle, noble.
  • Enfin, cinq des prévenus envoyés par le comité révolutionnaire de Donzy, comme coupables de correspondances et de manœuvres contre-révolulionnaires : J.-B. Faiseau, agent du duc de Nivernais; Augustin-Edme Frappier, juge fiscal; Jean-Pierre Laurent, ex-curé; Jeanne Faudy,femme Rapin; Marie-Edme BiNET, vieille fille de cinquante ans
[Journal du Tribunal Révolutionnaire - Messidor an II]
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Ascendant(s) référent(s) pour conjoint
Descendant pivot Paul BAILLIART avec pour descendant(s) remarquable(s) Hélène BAILLIART
Créé le 03/01/2015, modifié le 3/01/2015

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