Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...
Seigneur de Maillé , Seigneur de la Varenne , SOSA
- Décédé le 17 juillet 1453 - Castillon la Bataille, Gironde 33, Gironde
- Seigneur de Maillé, Seigneur de la Varenne
Parents
- Jean DE LA TOUSCHE, Baron de la Tousche , Seigneur d'Avrigny , SOSA , Baron de la Tousche, Seigneur d'Avrigny
Marié avec - Marguerite DE CURZAY, SOSA
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
- Marié avec Marguerite DE MAUVISSON, SOSA dont
- Marguerite XXX DE LA TOUSCHE, Dame de la Varenne †1499/ Mariée le 28 décembre 1442 avec Guillaume IV D'ALOIGNY, Seigneur de Rochefort sur Creuse †1492 dont
- Guillaume D'ALOIGNY, Seigneur de la Millandière Marié avecEpouse de Guillaume X EPOUSE D'ALOIGNY dont :
- Marquise Françoise D'ALOIGNY, SOSA Mariée en 1450, Tours, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Jean II de Bussy DE GUIBERT, Seigneur de Bussy dont :
- Jean François de Bussy DE GUIBERT, Seigneur de Bussy 1450-1480/
- François D'ALOIGNY, Seigneur de Rochefort sur Creuse †1522 Marié le 20 octobre 1484 avec Catherine GUÉRIN, Dame d'Oinzé dont :
- René D'ALOIGNY, Seigneur de Rochefort sur Creuse †/1557
- François D'ALOIGNY
- Louise D'ALOIGNY, Dame de la Forest
- Françoise XXX D'ALOIGNY, SOSA †/1571
- Jean D'ALOIGNY, Seigneur de Rochefroide †1522/ Marié avecEpouse de Jean DE JEDOUYN, Dame de la Chèze dont :
- Léon D'ALOIGNY, Seigneur de la Chèze †1525/
- Pierre D'ALOIGNY †1508/
- Jacques D'ALOIGNY †1508/
- Jacquette D'ALOIGNY
- Jeanne D'ALOIGNY, Dame de Maillé †1508/
- Antoinette D'ALOIGNY †/1492 Mariée avecJean SCOLIN †/1492
- Marguerite XXX DE LA TOUSCHE, Dame de la Varenne †1499/ Mariée le 28 décembre 1442 avec Guillaume IV D'ALOIGNY, Seigneur de Rochefort sur Creuse †1492 dont
Fratrie
- Guy d'Avrigny DE LA TOUSCHE, Baron de la Tousche Marié avecExperte de la Messelière FROTIER
- Pierre DE LA TOUSCHE, Seigneur de Maillé †1453 Marié avec Marguerite DE MAUVISSON, SOSA
Notes
Notes individuelles
I181489
Il descend de Charlemagne (liens).
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Desbordes 19/0 (x 3), Tharaud 18/0 (x 3), Demoulière 28/11, Desale 28/10, Jacquemard 26/8, Renvoyé 27/8, Beyrand 24/4, Plumency 28/10, Touchelet 26/4 en 6 liens avec la souche
Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins des temps de guerre
Il meurt à Castillon dans la dernière bataille de la guerre de 100 ans
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[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Castillon reprenant la Revue Historique de Bordeaux: La Guyenne militaire, Tome II Drouyn Histoire de Castillon ]
La bataille de Castillon eut lieu le 17 juillet 1453 entre les armées de Henri VI d'Angleterre et celles de Charles VII de France. Cette victoire décisive pour les Français met fin à la guerre de Cent Ans
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À la suite de la reconquête de la Normandie (campagne de 1450), les Français dirigent leurs efforts vers la seule région encore aux mains des Anglais. La Guyenne est presque reconquise par les Français, mais lesexigences de Charles VII heurtent les intérêts des partisans de l'Angleterre.
Henri VI charge John Talbot de la reconquête. Après une rapide campagne, Bordeaux est reprise le 23 octobre 1452. Castillon accueille les Godons. La situation anglaise reste cependant très difficile puisque leur pays est proche de la guerre civile, ce qui limite les renforts et, par la suite, rend la situation plus délicate.
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Les Français décident de contre-attaquer l'été suivant en lançant quatre colonnes vers Bordeaux. L'une d'entre elles avance par la vallée de la Dordogne, prenant Gensac le 8 juillet 1453, approchant de Castillon, ville fortifiée, mais ne l'assiégeant pas. Ce comportement rompt avec leur stratégie offensive qui a déjà permis d'emporter plusieurs places-fortes. Leur objectif n'est plus de conquérir Castillon et la Guyenne, ville par ville mais de détruire l'armée de Talbot et de régler ainsi en un unique engagement le sort de l'Aquitaine. Commandant l'artillerie, les frères Bureau connaissent Castillon et ses environs pour avoir enlevé la place en 1451 avec l'armée de Penthièvre.
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L'armée franco-bretonne s'établit à 1 800 m à l'est, dans la vallée, sur la rive droite de la Dordogne. Elle comprend environ 10 000 hommes, 1 800 lances, des francs-archers, une artillerie de 300 pièces servies par 700 manuvriers auxquels il faut ajouter l'armée bretonne de 1 000 hommes dont une cavalerie de 240 lances.
L'emplacement choisi offre d'incontestables avantages. Au nord, il s'adosse à la Lidoire, petite rivière aux rives escarpées, et dont le niveau peut être élevé grâce à un barrage. À l'ouest, au sud et à l'est, un fossé l'entoure : 1,6 km de long, 5 à 6 m de large, 4 m environ de profondeur, suffisant à décourager l'assaillant. Réalisé entrois jours, il n'en présente pas moins les traces d'un certain savoir-faire : il présente des sinuosités, des indentations permettant des feux croisés. Protégé par un talus, renforcé de troncs d'arbres,il pose des problèmes redoutables à la cavalerie anglaise. Ainsi réalisé, le camp mesure 200 à 300 m du nord au sud et 600 m d'ouest en est. Devant lui s'étend sur 500 à 600 m la plaine de la Dordogne, rivière qu'on ne pouvait franchir qu'en un gué, le pas de Rauzan.
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Si l'ennemi vient du nord, il se heurte à la Lidoire, obstacle difficile à franchir, aux abords immédiats du camp. S'il vient de l'ouest, il ne peut entièrement se déployer devant le front étroit de la place (200 m), du sud, le champ de bataille jusqu'à la Dordogne se trouve sous le feu de l'artillerie française.
Le dispositif de l'armée royale renforcée par un corps breton est complété par deux opérations :
- 700 hommes occupent le prieuré de Saint-Florent au nord-ouest du camp ;
- La cavalerie bretonne (240 lances) est remontée en réserve à Horable, à 1,5 km au nord.
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Averti par les Castillonnais de l'arrivée des Français, Talbot, à Bordeaux, hésite, puis se décide à les attaquer. Il couche à Libourne et le matin du 17 juillet se dissimule dans les bois dominant le prieuré. Comme les Castillonnais le lui ont conseillé, il se précipite et bouscule la faible garnison de Saint-Florent. Celle-ci s'enfuit et s'efforce de rejoindre le camp. Mais la retraite est difficile, on suit le flancdu coteau dominant la rivière et, après de sanglants corps à corps, les fuyards franchissent la petite rivière par un gué ou un pont provisoire et se retrouvent à l'intérieur du camp. Peut-être surpris par les difficultés auxquelles ils se heurtent, les Anglais refluent sur le prieuré où ils vont se restaurer et se désaltérer en mettant en perce quelques futailles abandonnées par les Français.
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Talbot s'apprête à entendre la messe, lorsqu'on lui rapporte que les Français s'enfuient, abandonnant le camp retranché. De fait, des nuagesde poussière s'élèvent à l'est, dans la plaine au-dessus de la position tenue par les Français. On saura plus tard qu'il s'agissait des pages et des bagages inutiles au combat. Trompé par ces apparences, Talbot n'hésite plus et se précipite avec les troupes dont il dispose afin de mettre les Français en déroute.
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Les récits de l'époque soulignent le calme de ces derniers. Avançant jusqu'à la contrescarpe du fossé, les Anglais essaient de planter l'étendard de Talbot à l'entrée du camp français. Mêlée confuse L'étendard roule dans le fossé ! L'artillerie des Français, commandée par les frères Gaspard et Jean Bureau (ce dernier est Grand Maître de l'artillerie du Roi Charles VII), a eu le temps de se préparer : 300 pièces tirent à la fois, chargées à mitraille. Le carnage esteffrayant. Les assaillants sont pressés les uns contre les autres, ilsne peuvent ni s'échapper ni se dissimuler. Courageusement, les survivants se regroupent mais de nouvelles décharges jettent la débandade parmi eux. L'artillerie de Talbot ne put jamais arriver à temps. Aussi duret meurtrier que fût le feu de l'artillerie française, les Anglo-Gascons continuent la lutte pendant environ une heure jusqu'au milieu de la journée, mais au bruit de la canonnade, les Bretons en réserve à Horable, chargent avec leur cavalerie et précipitent la déroute.
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Les Français ouvrent alors les barrières et poursuivent les Anglais. Dans la mêlée qui s'ensuit, Talbot, dont le destrier avait été tué par un boulet, est précipité à terre et est achevé par un archer français, Michel Pérunin, qui inscrit ainsi son nom dans les annales de l'histoire en achevant le comte d'un coup de hache sur la tête. Le fils de Talbot, Lord L'Isle, fut aussi tué.
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Les survivants (4 000 morts au moins restèrent sur le champ de bataille !) s'enfuient, les uns en franchissant la Dordogne (mais beaucoup se noient), les autres en refluant vers l'ouest (certains atteignent Saint-Émilion), d'autres enfin, en s'abritant dans la place de Castillon-la-Bataille. Refuge de courte durée ! En effet, le 18 juillet, les Français avançant quelques pièces d'artillerie sous les murs obtiennent la reddition de la ville. C'est au château de Pressac, à Saint-Étienne-de-Lisse que fut signée celle des Anglais.
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Le corps de Talbot est reconnu par son héraut. Ses restes sont déposés à Notre-Dame-de-Colle, sur le champ de bataille puis transportés en Angleterre et inhumés à Witchurch. Talbot disparu, toutes les places tenues par les Anglais capitulent et Bordeaux se rend sans effusion de sang.
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Cette bataille scelle le retrait des Anglais et permet d'asseoir l'autorité du roi de France. Pour l'Aquitaine, les conséquences ne furent pastrès bénéfiques. Plus question de chartes au contenu libéral, ni de« consentir » l'impôt. Les Castillonnais perdent pour un temps leursprivilèges, qui seront reconstitués petit à petit. En 1474 Jean de Foix-Candale leur accorde une charte dont les dispositions sont confirmées et élargies par Gaston II en 1487. D'autre part, cette défaite des Anglais bouleverse l'économie de la région. Les échanges qui ont assuré pendant deux siècles la prospérité de l'Aquitaine sont remis en cause. Les ventes de vin à l'Angleterre, sans cesser complètement, se réduisent rapidement. L'exil, volontaire ou imposé, éclaircit les rangs des notables. Quelques années plus tard, les exilés volontaires sontbien accueillis à leur retour. Certains retrouvent même les terres abandonnées.
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Dans le domaine militaire, cette victoire, fruit d'une stratégie nouvelle, met en valeur le rôle important de l'artillerie ou l'action percutante de la cavalerie, quand elle est utilisée au moment opportun. Les chevauchées souvent désordonnées, les volées de flèches et les combats individuels débordant de courage n'ont pu mettre le camp des Français en danger. Toute une conception médiévale de la guerre s'écroule etmontre son insuffisance devant les nouvelles armes.
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Voir aussi la page http://xenophongroup.com/montjoie/fcastilo.htm
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Descendants remarquables contemporains : Alain BARNY, Jérôme BESNARD, Alain BEYRAND, Huguette CHARBONNIER, Patrick CORDEAU, Joël COUDERT, Jean-Charles DE CASTELBAJAC, Bruno DELCOURT, Eric DETHOMAS, Jack DUBURGUET, Philippe DUGOT, Dominique DUPUYDENUS, Jean-Paul ETCHEPARRE, Gérard GRENIER, Gilles GUÉRIN, Martine GUILHOT, Ariette IMBERT, Bertrand JAVARY, Jean-Claude dit Pascal Sevran JOUHAUD, Nicolas JOUHAUD, Catherine JUNGBLUTH, Claude LACOTTE, Jean-François LAMOTTE, Aurore LÉCUREUX, Christian LEGROS, Louis LONGEQUEUE, Gérard MATHOUT, Jean-Claude MAZABRAUD, Bernard MEYER, François MITTERRAND, Josette MITTERRAND, Pierre MOREAU DE MONTCHEUIL, Aimé NOUAILHAS, Yoan PAULIOUT, Claude PERRIER, Aline PIOT, Christian PREVEROT, Frédéric PROUST, Jean-Pierre ROUSSAUD, Nicolas SEROUX, Max TARKIN, André TERLAUD, Gilles VACHEYROUT, Jean-Claude VALETTE, Marcel VALIÈRE, Valentin VOISIN
Créé le 16/07/2014, modifié le 26/11/2014
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Aperçu de l'arbre
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