Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...
Sosa :158
SOSA
Lieu de décès/inhumation : Veigné - Le Lavoir
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Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Desale 7/0, Besnard 13/6', Hamelin 13/6', Touchelet 14/7'
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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins à métiers marquants
Au XIXème siècle, ce maçon de la Creuse, comme bien d'autres, quitte son pays natal.
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A son mariage à Montbazon, au coeur de la Touraine, il est noté "journalier", mais il était très probablement maçon, comme son frère de même prénom, comme son père et comme nombreux de ses ancêtres. Il partit donc au printemps sur un chantier puis revenait pour l'hiver au pays natal, à Anzème. A plus de 40 ans, il est probable qu'il ait voulu rompre avec cette vie, sans doute aidé par la jeune trentenaire MargueriteRondeau.
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Lien Wikipédia sur les "maçons de la Creuse" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maçons_de_la_Creuse
Extraits :
Dans toutes les communes du département de la Creuse, beaucoup d'hommespartaient tous les ans dans les grandes villes de France sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur...
C'est ainsi qu'ils participents à tous les grands chantiers de bâtiment et des travaux publics à travers la France. En 1627, M. de Pompadour,lieutenant général du Limousin, envoie, à la demande de Louis XIII, des maçons creusois travailler à la construction de la Digue de Richelieu de La Rochelle. Au xixe siècle, ils travaillent à la construction du Paris du préfet Rambuteau puis du baron Haussmann.
La Creuse manque de ressources naturelles et de terres riches pour l'agriculture. De nombreuses familles vivent sur des petites exploitations agricoles qui ne leur permettent pas de subsister. Ainsi certains Creusois doivent quitter leur terre natale pour servir de main-d'oeuvre sur les grands chantiers de construction, principalement dans les régions de Paris et de Lyon.
Alors que la Creuse, faute de matières premières et de capitaux, resteun département à vocation essentiellement paysanne, il se développe au sein des populations un esprit politique contestataire. En effet les conditions de travail sur les chantiers sont particulièrement difficiles, ce qui conduit, bien souvent, les maçons de la Creuse, à se syndiquer afin d'obtenir des conditions de travail acceptables.
Par ailleurs, initialement temporaire de mars à novembre, l'émigrationdevint définitive au début du xxe siècle : ainsi la Creuse perdit la moitié de sa population entre 1850 et 1950.
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Extrait des "Souvenirs d'un maçon de la Creuse par "le Solitaire"" (article extrait de la revue Recherches contemporaines, n° 3, 1995-1996) (http://www.u-paris10.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=2208)
Nos patrons faisaient aussi des entreprises en province, et j'ai été souvent détaché, à la tête d'une escouade d'ouvriers, pour aller par-ci, par-là, réparer un pont, un canal, assainir les caves sur toute une ligne de chemin de fer. C'est ainsi qu'en 1847 et 1848 j'allais en Normandie et en Touraine.
Je n'ai pas gardé trop bon souvenir de la Touraine. C'est un bon pays où j'ai mangé le meilleur pain de ma vie, et bu de bon vin blanc ;mais j'avais à faire à des ouvriers sans probité qui jouaient des tours à tout le monde et s'en allaient sans payer. Ça ne me convenait pas, et je fus content de quitter.
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Remarques : dans les communes de la Creuse autour d'Anzème, le métier de maçon est donc très fréquent, associé ou non à celui de laboureur / cultivateur, les mariages ont lieu très souvent en janvier / février et les naissances très souvent en septembre / octobre...
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Autre lien : http://www.zigzag-francophonie.eu/FRANCE-Les-Macons-de-la-Creuse-une
======================================================================================================================================================================================Ascendant référent Père de François GUILLARD
Ascendant référent François MALERBAUD
Ascendant référent Père DAMEAU
Ascendant référent Simon AUCLAIR
Ascendant référent Clément TOURTAUD
Ascendant référent Jean LECANTE
Ascendant(s) référent(s) pour conjoint
Descendant pivot Léon DESALE
Descendant pivot Marcel DESALE avec pour descendant(s) remarquable(s) Suzanne DESALE
Descendant pivot Henri MARTIN avec pour descendant(s) remarquable(s) Alain BEYRAND, Frédéric PROUST
Créé avant le 05/05/2009, modifié le 25/11/2013
SOSA
- Né le 19 septembre 1777 - Anzême, Creuse 23, Creuse
- Baptisé le 19 septembre 1777 - Anzême, Creuse 23, Creuse
- Décédé le 4 août 1845 - Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire,à l'âge de 67 ans
- Gagiste, Journalier
Parents
- Silvain GUILLARD, SOSA , né le 7 mai 1750 - Anzême, Creuse 23, Creuse, décédé le 1er mars 1813 - Anzême, Creuse 23, Creuse à l'âge de 62 ans, Journalier, Maçon
Marié le 14 février 1774, Anzême, Creuse 23, Creuse, avec - Marie LEJEUNE, SOSA , née en 1747 - Bussière Dunoise, Creuse 23, Creuse, décédée le 2 janvier 1791 - Anzême, Creuse 23, Creuse à l'âge de 44 ans
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
- Marié le 2 avril 1821, Montbazon, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Marguerite RONDEAU, SOSA , née le 22 juillet 1789 - Esvres, Indre et Loire 37, Indre et Loire, baptisée le 22 juillet 1789 - Esvres, Indre et Loire 37, Indre et Loire, décédée le 21 décembre 1855 - Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire à l'âge de 66 ans, Gagiste(Parents : Félix RONDEAU, SOSA 1764-1843 & Marguerite Julienne ROSSIGNOL, SOSA 1764-1830)dont
- Pierre GUILLARD 1821-1902 Marié le 25 juin 1845, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecJeanne BROSSEAU 1819- dont
- Jeanne Pauline GUILLARD 1846- Mariée le 25 février 1867, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecCharles DEGEMME 1844- dont :
- Charles DEGEMME 1868-
- Pierre GUILLARD 1848-/1914 Marié le 30 décembre 1872, Esvres, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecLouise MOREAU 1846-1918 dont :
- Pierre GUILLARD †1914
- Toussaint GUILLARD 1852- Marié le 22 octobre 1879, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecMarie Catherine Alexandrine HARDOUIN †
- Jeanne Pauline GUILLARD 1846- Mariée le 25 février 1867, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecCharles DEGEMME 1844- dont :
- Anne Emilie GUILLARD, SOSA 1824-1895/ Mariée le 26 juin 1843, Ballan Miré, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Jacques "François" GUIBERT, SOSA 1824-1902 dont
- Marie GUIBERT, SOSA 1844- Mariée le 20 avril 1864, Tours, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Pierre DESALE, SOSA 1844-1922 dont :
- Eugène "François" DESALE 1866-
- Marie Louise DESALE 1869-1869
- Eugénie Marie "Maria" DESALE, SOSA 1871-
- Léon Baptiste DESALE 1873-
- Marie GUIBERT, SOSA 1844- Mariée le 20 avril 1864, Tours, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Pierre DESALE, SOSA 1844-1922 dont :
- Marie GUILLARD 1826-1896 Mariée le 8 janvier 1851, Sorigny, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecThéodore PROUCHETTE 1822- dont
- Théodore PROUCHETTE 1851-
- Marie PROUCHETTE 1858- Mariée le 28 août 1877, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecJean COURTEAU
- Silvain GUILLARD 1830- Marié le 29 juin 1851, Ballan Miré, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecJoséphine GUIBERT 1827- dont
- Joséphine Marie GUILLARD 1854-
- Pierre GUILLARD 1821-1902 Marié le 25 juin 1845, Veigné, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avecJeanne BROSSEAU 1819- dont
Fratrie
- Pierre GUILLARD 1775-1845 Marié le 28 janvier 1802, Anzême, Creuse 23, Creuse, avecAnne BOURDEAU 1781-
- Pierre GUILLARD, SOSA 1777-1845 Marié le 2 avril 1821, Montbazon, Indre et Loire 37, Indre et Loire, avec Marguerite RONDEAU, SOSA 1789-1855
- Etiennette GUILLARD 1781- Mariée le 1er mars 1810, Anzême, Creuse 23, Creuse, avecPierre CHAPELOUNIER 1767-1840
- Marguerite GUILLARD 1785-
- Marie GUILLARD 1787-
Demi-frères et demi-sœurs
Du côté de Silvain GUILLARD, SOSA , né le 7 mai 1750 - Anzême, Creuse 23, Creuse, décédé le 1er mars 1813 - Anzême, Creuse 23, Creuse à l'âge de 62 ans, Journalier, Maçon |
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Notes
Notes individuelles
I287
-> Baptême Parrain : Pierre GUILLARD
-> Baptême Marraine : Anne LEJEUNE
-> Décès Témoin : Pierre GUILLARD, fils du décédé (Journalier)
Lieu de décès/inhumation : Veigné - Le Lavoir
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Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Desale 7/0, Besnard 13/6', Hamelin 13/6', Touchelet 14/7'
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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins à métiers marquants
Au XIXème siècle, ce maçon de la Creuse, comme bien d'autres, quitte son pays natal.
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A son mariage à Montbazon, au coeur de la Touraine, il est noté "journalier", mais il était très probablement maçon, comme son frère de même prénom, comme son père et comme nombreux de ses ancêtres. Il partit donc au printemps sur un chantier puis revenait pour l'hiver au pays natal, à Anzème. A plus de 40 ans, il est probable qu'il ait voulu rompre avec cette vie, sans doute aidé par la jeune trentenaire MargueriteRondeau.
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Lien Wikipédia sur les "maçons de la Creuse" : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maçons_de_la_Creuse
Extraits :
Dans toutes les communes du département de la Creuse, beaucoup d'hommespartaient tous les ans dans les grandes villes de France sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur...
C'est ainsi qu'ils participents à tous les grands chantiers de bâtiment et des travaux publics à travers la France. En 1627, M. de Pompadour,lieutenant général du Limousin, envoie, à la demande de Louis XIII, des maçons creusois travailler à la construction de la Digue de Richelieu de La Rochelle. Au xixe siècle, ils travaillent à la construction du Paris du préfet Rambuteau puis du baron Haussmann.
La Creuse manque de ressources naturelles et de terres riches pour l'agriculture. De nombreuses familles vivent sur des petites exploitations agricoles qui ne leur permettent pas de subsister. Ainsi certains Creusois doivent quitter leur terre natale pour servir de main-d'oeuvre sur les grands chantiers de construction, principalement dans les régions de Paris et de Lyon.
Alors que la Creuse, faute de matières premières et de capitaux, resteun département à vocation essentiellement paysanne, il se développe au sein des populations un esprit politique contestataire. En effet les conditions de travail sur les chantiers sont particulièrement difficiles, ce qui conduit, bien souvent, les maçons de la Creuse, à se syndiquer afin d'obtenir des conditions de travail acceptables.
Par ailleurs, initialement temporaire de mars à novembre, l'émigrationdevint définitive au début du xxe siècle : ainsi la Creuse perdit la moitié de sa population entre 1850 et 1950.
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Extrait des "Souvenirs d'un maçon de la Creuse par "le Solitaire"" (article extrait de la revue Recherches contemporaines, n° 3, 1995-1996) (http://www.u-paris10.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=2208)
Nos patrons faisaient aussi des entreprises en province, et j'ai été souvent détaché, à la tête d'une escouade d'ouvriers, pour aller par-ci, par-là, réparer un pont, un canal, assainir les caves sur toute une ligne de chemin de fer. C'est ainsi qu'en 1847 et 1848 j'allais en Normandie et en Touraine.
Je n'ai pas gardé trop bon souvenir de la Touraine. C'est un bon pays où j'ai mangé le meilleur pain de ma vie, et bu de bon vin blanc ;mais j'avais à faire à des ouvriers sans probité qui jouaient des tours à tout le monde et s'en allaient sans payer. Ça ne me convenait pas, et je fus content de quitter.
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Remarques : dans les communes de la Creuse autour d'Anzème, le métier de maçon est donc très fréquent, associé ou non à celui de laboureur / cultivateur, les mariages ont lieu très souvent en janvier / février et les naissances très souvent en septembre / octobre...
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Autre lien : http://www.zigzag-francophonie.eu/FRANCE-Les-Macons-de-la-Creuse-une
======================================================================================================================================================================================Ascendant référent Père de François GUILLARD
Ascendant référent François MALERBAUD
Ascendant référent Père DAMEAU
Ascendant référent Simon AUCLAIR
Ascendant référent Clément TOURTAUD
Ascendant référent Jean LECANTE
Ascendant(s) référent(s) pour conjoint
Descendant pivot Léon DESALE
Descendant pivot Marcel DESALE avec pour descendant(s) remarquable(s) Suzanne DESALE
Descendant pivot Henri MARTIN avec pour descendant(s) remarquable(s) Alain BEYRAND, Frédéric PROUST
Créé avant le 05/05/2009, modifié le 25/11/2013
Photos & documents
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Aperçu de l'arbre
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Prénoms : XXX parents probables mais non certains (explicatif ennote), YYY ascendance sur un autre site (indiqué en note), ZZZ noncousin(e) (mais lien avec plusieurs cousin(e)s) - Mon site généalogique - Explicatif sur les ascendants référents,les descendants pivots, les cousins remarquables -Tous les ascendantsréférents - Tous les cousins remarquables - Contactgen @ pressibus.org - Bon voyage. Alain Beyrand