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    I27710
    Parenté(s) (branche, degré) : Desale 12/9, Hamelin 14/10, Touchelet 17/12

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    Il est un "cousin remarquable" dans la catégorie Cousins célèbres
    Membre de l'académie Goncourt, son oeuvre la plus célèbre est "Zazie dans le métro"

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    Écrivain. Membre de l'académie Goncourt, directeur de la prestigieuse Encyclopédie de la Pléiades, il connaît le succès en 1959 avec "Zazie dans le métro". Virtuose alchimiste du rire et de la gravité, se tenant résolument hors de tout mouvement littéraire, ce chahuteur de motscharme aussi par ses inventions verbiales.
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    Cet écrivain a facilité la tâche de ses biographes : "Je naquis au Havre un vimgt et un février / en mil neuf cent et trois./ Ma mére était mercière et mon père mercier / ils trépignaient de joie." Faisons la part des façons de dire : le magasin était assez spacieux,plusieurs demoiselles y travaillaient. La mère était : "Fille decapitaine et fille de Havrais". Le pére avait vécu en Extréme-Orient, il est désigné comme "comptable colonial" sur le livret de famille.
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    Biographie par Claude DEBON (http://www.europe-revue.info/2003/queneaubio.htm)
    • 1903, 21 février : naissance au Havre. Son père, AugusteQueneau, est comptable colonial, sa mère, Joséphine Mignot, plus âgée que lui, est "mercière", au 47 rue Thiers. Queneau, fils unique, y habite jusqu'à la fin 1920. Le commerce est plutôt florissant.
    • 1908 : Entrée au petit lycée du Havre. Il y fait toutes ses études primaires et secondaires. Souvent primé, il est généralement bon élève, non sans quelques moments difficiles.
    • 1913 : Il commence à écrire. Ses premières oeuvres seront détruites.
    • 1914 : 15 avril : début de son journal, qu'il tiendra bon an mal an toute sa vie. Il est aujourd'hui presque entièrement publié. 14 mai : il fait sa première communion, avec ferveur, avant de renoncer au catholicisme le 1er août 1918 et de faire scandale en annonçant en 1920 à ses parents qu'il est athée. La question religieuse taraudera pourtant Queneau à plus d'une période de sa vie.
    • 1915 : On a gardé trace de ses écrits, qui se multiplient : il aborde aussi bien le genre romanesque que la fiction historique (Histoire de la Lusapie) ou le théâtre, tout en se passionnant pour la chimie, les sciences naturelles et les langues étrangères.
    • 1916 : Tout en fréquentant assidûment les cinémas avec son père, il s'adonne à son goût déjà prononcé des listages, dans des domaines variés : collections de géologie, paléontologie, conchyliologie  ; liste des oeuvres d'Aristote  ; révision de l'Histoire de l'Égypte de Maspero. Il invente l'"avion Queneau".
    • 1917, 18 août : Il écrit un poème visionnaire, "Les DerniersJours", qui semble correspondre à une crise spirituelle. Il a déjà suffisamment écrit pour établir la bibliographie de ses oeuvres. À la fin de l'année, il découvre les mathématiques, science qu'il mettra toute sa vie au plus haut et qu'il pratiquera à un niveau professionnel.
    • 1918 : Il lit énormément. Dès 1917, il établit la liste de ses lectures et garde cette habitude sa vie durant.
    • 1919, 4 juillet : Première partie du baccalauréat, avec latinet grec. Il apprend à jouer aux échecs et au billard. Il écrit de nombreux poèmes.
    • 1920, 10-13 juillet : Deuxième partie du baccalauréat, en philosophie. Il termine ses études havraises en beauté, avec différentesrécompenses locales. À la fin de l'année, ses parents vendent leur fonds de commerce pour accompagner leur fils qui doit poursuivre ses études à Paris. Ils achètent une maison en banlieue, à Épinay-sur-Orge.Ils seront enterrés, ainsi que Queneau, dans le vieux cimetière de Juvisy-sur-Orge.
    • 1921 : Queneau s'est inscrit à la Sorbonne en philosophie. 6 janvier : il s'abonne à Littérature, revue fondée en 1919 par lesfuturs surréalistes, Aragon, Breton, Soupault. Juillet : il échoue à son examen et commence à noter ses rêves. 7 novembre : réinscription à la faculté des lettres. 5 décembre : il étudie Leibniz et découvre René Guénon, qui va le marquer.
    • 1922 : Ses études ne sont pas brillantes. Après avoir rasé sa moustache en 1921, il porte des lunettes. 1er août-26 septembre : voyage en Angleterre, dont on trouvera des traces dans son oeuvre. 5 novembre : il s'inscrit à la faculté des sciences, parallèlement à ses études de lettres.
    • 1923 : Il suit des cours de mathématiques. Juin-juillet :il échoue encore à ses examens. Il ressent à la campagne ses premières crises d'asthme. Cette "ontalgie" ne sera guérie ou surmontée que pendant la guerre. 26 novembre : il se réinscrit en faculté des sciences. Il se plonge dans Fantômas qu'il relira quatre fois jusqu'en 1928 (il y a trente-deux volumes).
    • 1924 : Juillet : il réussit passablement deux certificats : histoire générale de la philosophie et psychologie. Il rencontre Pierre Naville, Michel Leiris, Philippe Soupault et André Breton. Ilparticipe désormais aux réunions et aux activités des surréalistes.
    • 1925, le 15 avril : Première publication : un récit de rêve dans le n° 3 de La Révolution surréaliste. Il en publie un autredans le n° 5. 16 novembre : il est incorporé dans le 46e régiment d'infanterie à Paris pour rejoindre le 3e régiment de zouaves à Constantine.
    • 1926 : 16 avril : Il reçoit à posteriori son diplôme delicencié ès lettres. Il fait mouvement en Algérie puis au Maroc, en guerre. Il suit par correspondance de septembre 1926 à avril 1927 un cours d'anglais commercial. Grâce à sa connaissance de l'anglais, il aura une approche directe de la littérature anglo-saxonne, fera des traductions et même trouvera enfin un emploi chez Gallimard, en 1938.
    • 1927, mars : Retour du régiment. Il est malheureusement sans emploi, et fait des "petits boulots", entre autres au Comptoir National d'Escompte de Paris, dont on trouve l'écho au début de son premier roman, Le Chiendent. Il s'installe à Paris en juillet. Il fréquente assidûment les surréalistes et publie son premier poème, "Le tour de l'ivoire", toujours dans La Révolution surréaliste. Mais il fréquente à lamême époque le groupe de la rue du Château, entre autres Prévert.
    • 1928 : janvier : Il participe aux "Recherches sur la sexualité" menées par les surréalistes. Février-mai : "La grande misère". 28 juillet : il épouse Janine Kahn, soeur de Simone Breton,et s'installe square Desnouettes. Sa situation matérielle est meilleure, mais il souffre de ne pas gagner sa vie.
    • 1929, juin : Queneau se fâche avec Breton. 5 août-27 octobre : voyage au Portugal. Il lit Joyce.
    • 1930, janvier : Il participe au tract contre Breton avec un poème injurieux : "Dédé". Il commence une étude sur les fous littéraires à la Bibliothèque Nationale et se lie pour quelques années avec Georges Bataille.
    • 1931 : Il collabore à La Critique sociale de Boris Souvarine, jusqu'en 1933. C'est l'organe du Cercle communiste démocratique. Février : placier en nappes en papier. Il ne parvient pas à trouver un emploi.
    • 1932 : Il commence une psychanalyse. Elle se poursuivra, avec deux analystes différents, Madame Lowska et le docteur Borel, et quelques interruptions, jusqu'en 1942. 22 juillet-19 novembre : séjour enGrèce, capital - il y écrit presque entièrement son premier roman, Le Chiendent. La découverte de la langue démotique est une illumination : on peut faire de la littérature avec la langue de tous les jours.
    • 1933 : Le Chiendent, Gallimard. Désormais tous ses ouvrages seront publiés chez cet éditeur, à quelques exceptions près (nous ne signalons que les exceptions). La machine à créer est lancée. De 1933 à 1939, il va suivre les cours de Kojève et Koyré sur Hegel à l'École pratique des hautes études, et les cours sur la gnose et le manichéisme de Charles-Henri Puech. Il publiera en 1947 les cours de Kojève : Introduction à la lecture de Hegel.
    • 1934 : Gueule de pierre. 21 mars : naissance de son fils, Jean-Marie. Il rencontre Henry Miller, avec lequel il échangera une correspondance.
    • 1935 : Il est "converti" par la lecture d'un livre anodin, L'Inde secrète, de Paul Brunton. Sa période "mystique" dure jusqu'en 1940.
    • 1936 : Les Derniers Jours. Juin : il déménage à Neuilly, rue Casimir-Pinel, où il restera jusqu'à sa mort. 23 novembre :il collabore à L'Intransigeant avec une chronique quotidienne : "Connaissez-vous Paris ?", jusqu'au 26 octobre 1938. Il y prend beaucoup de plaisir.
    • 1937, janvier : Il perd sa mère. Odile. Chêne et chien, roman en vers, Denoël.
    • 1938, janvier : Il entre au comité de lecture des éditions Gallimard, comme lecteur d'anglais. Mais la guerre va l'obliger à chercher de nouveau un emploi. Les Enfants du limon. Il injecte dans ce roman ses recherches sur les fous littéraires, qui n'avaient pas trouvé d'éditeur.
    • 1939 : Un rude hiver. 5 juin : il trouve un emploi de professeur à l'École nouvelle de Neuilly. 24 août : incorporé, se retrouve à Fontenay-le-Comte puis à La Roche-sur-Yon, et est démobilisé en juillet 1940 (Voir Journal 1939-1940, Gallimard, 1986).
    • 1940, juillet- septembre : il se réfugie avec sa femme et son fils à Saint-Léonard de Noblat, où il rencontre le peintre Élie Lascaux et où il fera la connaissance de Georges-Emmanuel Clancier et de safemme, Anne. De retour à Paris, il doit se contenter de son emploi de professeur à l'École nouvelle.
    • 1941 : Les Temps mêlés. 14 janvier : il participe à la lecture du Désir attrapé par la queue de Picasso, chez les Leiris. Il joue le rôle de l'Oignon. Il devient secrétaire général des Éditions Gallimard.
    • 1942 : Pierrot mon ami. Fin août : il a terminé les premiers Exercices de style.
    • 1943 : Les Ziaux. C'est son premier recueil poétique. Une nouvelle édition paraîtra en 1948. Il fréquente à Paris Camus, Picasso, Jean Lescure, Jean Tardieu, Prassinos, Desnos. Rencontre à cette époque de François Le Lionnais, un scientifique passionné de mathématiquesmais aussi de littérature, qui deviendra son ami et avec lequel il fondera l'Oulipo.
    • 1944 : Loin de Rueil.
    En passant, Barbezat, Lyon. C'est sa seule pièce de théâtre jouée (1947). Il collabore à des publications clandestines, est en septembre membre du Comité national des écrivains issu de la Résistance. Bien qu'il ne se soit pas directement engagé dans un réseau, à notre connaissance, probablement pour protéger sa famille, et qu'il soit resté à Paris pendant l'Occupation, Queneau a toujours soutenu la résistanceaux Allemands. Il est cette même année sous-directeur des services littéraires de la radio.
    • 1945, 30 mai : Il reçoit une carte de journaliste professionnel. Juin : première lettre de Boris Vian à Queneau. Il sera l'un de ses rares vrais amis, avec François le Lionnais.
    • 1946 : Il entame sa période "Saint-Germain-des-Prés" (il est grand amateur de jazz) et expose en décembre des gouaches. Il a failli un moment se détourner de la littérature au profit de la peinture. Il a laissé un assez grand nombre de gouaches, mais il semble abandonner définitivement cet art en 1952.
    • 1947 : Exercices de style. Cette oeuvre subira des changements jusqu'à sa dernière édition en 1973. Dès 1949, avec la mise en scène d'Yves Robert à la Rose rouge, puis en 1954 avec le disque des frères Jacques, l'oeuvre rencontre un succès qui ne fera que grandir, en France comme à l'étranger. On est toujours trop bon avec les femmes, sousle pseudonyme de Sally Mara. Bucoliques, poèmes. Ses activités se multiplient, il s'intéresse au cinéma, écrit des scénarios. Il publie plusieurs nouvelles (À la limite de la forêt, Une trouille verte). Ses"textes courts" seront repris dans l'édition posthume de Contes et propos (1981). 25 octobre : Mort de son père.
    • 1948 : Saint Glinglin. C'est la refonte de Gueule de pierre et des Temps mêlés. L'Instant fatal, poèmes. Il devient membre de la Société mathématique de France.
    • 1949, 11-26 février : exposition de gouaches et d'aquarelles à la galerie Artiste et Artisan, 31 rue de Seine à Paris. 18 juin : Juliette Greco popularise "Si tu t'imagines", poème de L'Instant fatal, musique de Kosma, qui devient la chanson la plus populaire de l'année. Il s'engage publiquement à plusieurs reprises en faveur des "opprimés" ou censurés, politiques ou intellectuels.
    • 1950 : Petite cosmogonie portative. C'est un moderne De Natura rerum, en alexandrins. L'édition en coll. Poésie / Gallimard de 1969 sera expurgée. Bâtons, chiffres et lettres. Recueil d'articles. Une nouvelle édition revue et augmentée paraîtra en 1965. Journal intime, sous le pseudonyme de Sally Mara, éditions du Scorpion. Queneau réunira en 1962 les deux oeuvres publiées sous le nom de Sally Mara sous le titre Les oeuvres complètes de Sally Mara, sous son nom cette fois. 11 février : entrée au Collège de Pataphysique. Il deviendra Satrape. Des États-Unis où il s'est rendu en compagnie de Roland Petit il ramène un ballet, La Croqueuse de diamants, représenté en septembre au Théâtre Marigny. On ne compte plus le nombre de ses apparitions publiques, interventions, signatures, protestations, activités cinématographiques. Cela n'arrange pas ses finances, toujours dans un état lamentable.
    • 1951, 12 mars : Elu membre de l'Académie Goncourt. Il fait désormais partie du tout-Paris. 1952 Si tu t'imagines, poèmes. C'est la réunion des principaux recueils poétiques déjà parus et réorganisés. Une nouvelle édition paraîtra en 1968. Le Dimanche de la vie. 28 février : Elu à l'Académie de l'Humour.
    • 1953-1954 : Toujours actif, il voyage (comme tous les ans, souvent en Italie) mais ne publie rien d'important. À la fin de 1954, il accepte de diriger l'Encyclopédie de la Pléiade. Ses soucis financiers s'allègent. Le premier contrat avait été signé dès 1945, pour l'Histoire des sciences.
    • 1955-1957 : Ses activités cinématographiques sont particulièrement nombreuses. Il est membre du jury du Centre national de cinématographie et du Festival de Cannes. 26 décembre 1955-26 janvier - 1956 : Il accompagne Bunuel au Mexique pour le tournage de La Mort en ce jardin, dont il a écrit les dialogues. Il est invité en URSS comme membre de l'Académie Goncourt à la fin de 1956. Il se rend à Moscou, Leningrad, Tachkent et Samarcande.
    • 1958 : Sonnets, Hautefeuille. Le Chien à la mandoline, Temps mêlés (Verviers). Ces deux recueils poétiques seront réunis dans Le Chien à la mandoline, en 1965, chez Gallimard.
    • 1959 : Zazie dans le métro. Sa conception remonte à la fin dela guerre. 31 octobre : Prix de l'humour noir pour ce roman. 28 novembre : première adaptation du roman par Olivier Hussenot aux Trois-Baudets.
    • 1960, 4 avril : tournage du film de Louis Malle, Zazie dans le métro. 4-12 septembre : une Décade de Cerisy est consacrée à Queneau. De cette rencontre naîtra l'Oulipo, Ouvroir de littérature potentielle, toujours bien vivant. L'université commence à s'intéresser à son oeuvre. Jean Queval lui consacre un livre.
    • 1961 : Cent mille milliards de poèmes. Dix sonnets, dont chaque vers peut se combiner à n'importe quel autre vers (à la même place)des autres sonnets, suffisent à générer ce chiffre astronomique. Unevie entière ne suffirait pas pour lire tous les sonnets potentiels. 14mars : Adaptation de Loin de Rueil en comédie musicale, par Maurice Jarre et Roger Pillaudin, au T.N.P.
    • 1962 : Entretiens avec Georges Charbonnier.
    • 1963-1964 : Bords, Hermann. Articles consacrés essentiellementaux mathématiques et à l'Encyclopédie.
    • 1965 : Les Fleurs bleues. Il a des problèmes de santé, doit cesser de boire de l'alcool. 7 octobre : Tournage du Dimanche de la vie, avec Jean Herman (Vautrin).
    • 1966 : Une histoire modèle. C'est une tentative pour penser mathématiquement l'histoire.
    • 1967 : Il commence la publication de trois recueils poétiques : Courir les rues (1967), Battre la campagne (1968), Fendre les flots (1969). Son nom figure dans le Nouveau Petit Larousse 1968. "Un conteà votre façon" est publié dans Les Lettres nouvelles (juillet-septembre). C'est un texte "combinatoire" qui fera école.
    • 1968 : Le Vol d'Icare. C'est son dernier roman, une fiction quiprend pour objet la création romanesque.
    • 1970-1971 : Il démissionne de l'Académie Goncourt.
    • 1972 : 18 juillet : mort de Janine Queneau. Il en est très affecté.
    • 1973 : Le Voyage en Grèce. C'est un recueil d'articles, anciens pour la plupart.
    • 1975 : Morale élémentaire. Ce dernier recueil poétique est particulièrement original, par les contraintes employées : création d'une forme fixe d'une part, Yi-King de l'autre. Certains y voient lesommet de l'oeuvre de Queneau. Pendant ces dernières années, Queneau participe régulièrement aux séances de l'Oulipo. Décembre : publication du cahier de L'Herne qui lui est consacré.
    • 1976, 6 mars : Sa dernière publication a pour sujet une application des mathématiques à la littérature : "Les fondements de lalittérature d'après David Hilbert" (Bibliothèque oulipienne). 25 octobre : Mort de Raymond Queneau.
    Créé avant le 16/11/2004
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    Ascendant pivot, son SOSA 4 (grand-père paternel) est Louis QUENEAU (cousinage(s)) avec pour ascendant(s) référent(s) Etienne BOULOYSEAU, Antoine GUIBERT, Jean BROSSEAU, Père de Michel ANGUILLE, Père DESACHÉ, Claude JOUBERT, François PESCHELOCHE

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    Raymond QUENEAU