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Sitepersonnel avec photos et compléments - Plus particulièrementdans les époques lointaines, consultez les notes. Il m'arrive eneffet de privilégier certaines hypothèses... à méditer puispartager ou rejeter...


Marquis de Brissac

  • Né le 23 octobre 1843 - Paris, Seine 75, Paris
  • Décédé le 6 avril 1871 - Genève, Suisse,à l'âge de 27 ans
  • Marquis de Brissac, Capitaine d'infanterie

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Notes

Notes individuelles

I187418
Il descend de Charlemagne (liens).
Parenté(s) de branche(s) et degré(s) : Beyrand 25/20, Desbordes 24/18, Tharaud 23/18, Demoulière 28/22, Plumency 24/24, Desale 25/20, Touchelet 27/20, Chidaine 24/21, Jacquemard 17/11, Renvoyé 18/11

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Il est un "cousin remarquable" (cousinage(s)) dans la catégorie Cousins des temps de guerre
Il est dans l'armée en déroute de Bourbaki, interné à Genève, il y meurt

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Capitaine d'infanterie dans la 2ème division de l'armée de Bourbaki
Engagé au 29ème régiment de mobiles il fut affecté à l'état-major du général Rébillard comme officier d'ordonnance. Il fit partie des troupes de l'armée de l'Est passées en Suisse et qui étaient exclues de l'armistice signé à Versailles.
Mort du typhus à Genève
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[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Armistice_franco-allemand_(1871)]
Après l'échec sanglant de la sortie militaire de Buzenval, le 19 janvier, la situation de Paris est désespérée. Le gouvernement de la Défense nationale vivement mais vainement attaqué par les Parisiens lors dela journée du 22 janvier, parvient à rester en place et choisit de réprimer ses opposants. Le général Louis Trochu tout en restant président du gouvernement cède son poste de gouverneur militaire de Paris au général Joseph Vinoy. Ce dernier ferme les clubs politiques parisiens,interdit 17 journaux hostiles au gouvernement et fait arrêter des chefs républicains comme Charles Delescluze. Partisan d'arrêter les combats le gouvernement demande l'armistice aux Allemands.
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Le 23 janvier Jules Favre, ministre des Affaires étrangères du gouvernement de la Défense nationale, rencontre le chancelier allemand Bismarck à Versailles. Les exigences allemandes sont importantes :
La France doit procéder à des élections pour la formation d'une assemblée devant ratifier la paix.
Les forts qui entourent la capitale doivent être livrés au vainqueur.
Les soldats défendant Paris doivent être désarmés.
Les Allemands peuvent entrer dans Paris (qui vient de subir plus de 4 mois de siège).
La ville doit verser une rançon, selon le mot de Bismarck, de 200 (deuxcents) millions de francs.
L'armistice est prévu pour une durée de trois semaines, pendant lesquelles seront négociés les préliminaires de paix.
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Jules Favre obtient quelques concessions. L'équivalent d'une division militaire est autorisé pour maintenir l'ordre. La Garde nationale n'est pas désarmée.
L'entrée des Allemands dans la capitale est repoussée au début mars. En revanche, la zone d'opérations de l'Armée de l'Est se trouve excluede l'armistice et Jules Favre omet d'en informer la délégation gouvernementale de Bordeaux et donc l'armée en question. Cette-ci est attaquée par surprise, subit de lourdes pertes (près de 15 000 hommes) et doit se réfugier en Suisse, où les soldats sont internés.
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Le 25 janvier le gouvernement français donne son accord sur les conditions de l'armistice, qui est signé par Jules Favre le 26 janvier.
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[Page Wikipedia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Armée_de_l'Est]
omposée de 140 000 hommes, l'armée est hétéroclite et improvisée. L'ennemi est composé d'environ 52 000 hommes. Le climat en ce début de bataille est extrêmement rigoureux. Il neige, et il a neigé abondamment durant les jours précédents ; la température nocturne atteint -20°C. Alors que les Prussiens ont trouvé des abris par réquisitions,les troupes françaises bivouaquent dans les bois et dans les chemins creux. En dépit des actes de bravoure accomplis dans la région de Villersexel, c'est une armée épuisée et mal équipée qui arrive pour combattre sur le front de la Lizaine (par exemple, on manque totalement de fers à glace pour les chevaux). Les premiers combats s'engagent devant les villes d'Héricourt et de Montbéliard. Les troupes pénètrent dans Montbéliard et attaque le château pour y déloger les Prussiens qui tirent à l'arme lourde. Le petit village de Bethoncourt au nord-est de Montbéliard connait un douloureux combat durant lequel succombent des bataillons de savoyards et de zouaves. Mais les luttes les plus sanglantes se déroulent devant Héricourt et Chagey. Pendant trois jours, les combats sur la ligne de la Lizaine connaissent des affrontements acharnés.
Retraite[modifier le code]
Le 18 janvier, aucune percée décisive n'ayant été marquée, le général Bourbaki décide de suspendre les combats et d'opérer la retraite de ses troupes en direction du sud, vers Besançon. La libération de Belfort aura donc échoué. Mais prise en tenaille par une nouvelle armée(Manteuffel), l'Armée de l'Est est contrainte de dévier sa marche en direction de Pontarlier. Cette retraite sur le plateau du Haut-Doubs, dans le froid sévère et la neige, est comparable au tableau du " radeau de la Méduse ". Les soldats, affamés, épuisés, décimés par le froid, n'étaient plus que l'ombre d'eux-mêmes. Par une négligence des négociateurs, l'armée de l'Est n'est pas comprise dans les conditions de l'armistice franco-allemand signé le 28 janvier 1871. Acculée à la frontière suisse, l'Armée de l'Est était prise au piège. Bourbaki tentera alors de se suicider. Il laissera le commandement de l'Armée au général Justin Clinchant, son principal adjoint. Ce dernier négociera laConvention des Verrières avec le général suisse Hans Herzog qui prévoit l'internement de son Armée en Suisse, après qu'elle eut été désarmée au passage de la frontière. À partir du 1er février, 87 847 hommes dont 2 467 officiers1 commenceront à passer la frontière, principalement aux Verrières.
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Cette tragédie a été immortalisée sous la forme d'un panorama circulaire exceptionnel réalisé par le peintre suisse, Edouard Castres, et ses collaborateurs, que l'on peut voir à Lucerne (Suisse). Le panorama circulaire Bourbaki se présente sous le forme d'une rotonde d'un diamètre de plus de 40 m. Il existe peu de panoramas de ce genre dans le monde. Réalisé sur la base de nombreuses esquisses dessinées pendant cetteguerre, il est le témoignage historique d'une qualité documentaire exceptionnelle. Cette œuvre constitue un document à la mémoire de la première grande action humanitaire de la Croix-Rouge suisse, et de la politique de neutralité de la Confédération. Le thème très particulier- on peut même dire unique du panorama - est l'incommensurable misèredes soldats blessés, affamés et gelés qui ont passé la frontière suisse le 1er février 1871. Après avoir réalisé un grand nombre de projets, le peintre Castres a ainsi associé à l'idée de guerre, non pasla notion de victoire, mais la notion de douleur. Le cadre choisi : un triste paysage d'hiver gris-blanc, d'immenses champs couverts de neige, a permis d'accentuer la tragédie humaine soigneusement décrite. C'est en colonnes interminables que les soldats traversent le champ de vision des visiteurs ….
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[page Wikipédia 2014 http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Denis_Bourbaki]
Bourbaki lui-même, plutôt que de se soumettre à l'humiliation de la reddition, le 26 janvier 1871, délègue ses fonctions au général Clinchant puis, dans la nuit, se tire une balle dans la tête ; mais la balle, ayant dévié, ricoche contre son crâne et Bourbaki est miraculeusement sauf. Le général Clinchant le transporte en Suisse, où il retrouve assez de force pour retourner en France.
[...]
Bourbaki lui-même, plutôt que de se soumettre à l'humiliation de la reddition, le 26 janvier 1871, délègue ses fonctions au général Clinchant puis, dans la nuit, se tire une balle dans la tête ; mais la balle, ayant dévié, ricoche contre son crâne et Bourbaki est miraculeusement sauf. Le général Clinchant le transporte en Suisse, où il retrouve assez de force pour retourner en France.
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Roland de Cossé-Brissac meurt à Genève deux mois après la tentative de suicide du général Bourbaki.
======================================================================================================================================================================================Ascendant référent Guillaume II DES ESSARTS
Ascendant référent Jean Ier HENNEQUIN
Descendant pivot François DE COSSÉ-BRISSAC avec pour descendant(s) remarquable(s) Maurice HERZOG
Créé le 21/12/2014

  Photos & documents

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 Aperçu de l'arbre

    ? ? Angélique Adélaïde MÉLIAND, Marquise de la Grange 1745-1828  
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  Auguste LE LIÈVRE DE LA GRANGE 1780-1826 Nathalie-Irène DE BEAUVAU-CRAON 1798-1852
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Timoléon DE COSSÉ-BRISSAC, Duc de Brissac 1813-1888 Marguerite LE LIÈVRE DE LA GRANGE 1822-1873
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Roland DE COSSÉ-BRISSAC, Marquis de Brissac 1843-1871