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Abbé , Écrivain , Historiographe de France (1771), Académie des Jeux Floraux (1745), Académie Française (235, 24 novembre 1763 - Secrétaire_Perpétuel), Encyclopédiste , Membre du Conseil des Anciens (1797), Franc Maçon Loge des Neuf Soeurs (Or.:_Paris)

  • Né le 11 juillet 1723 (dimanche) - BORT LES ORGUES 19
  • Décédé le 31 décembre 1799 (mardi) - SAINT AUBIN SUR GAILLON 27,à l'âge de 76 ans

 Parents

 
  • Tailleur d'habits
  •  

     Union(s) et enfant(s)

     Fratrie

     Notes

    Notes individuelles


    un portrait en couleurs est de Alexandre Roslin (1718-1793)
    fait ses études chez les Jésuites, d'abord à Mauriac puis au collège de Clermont-Ferrand. Dès l'âge de 16 ans, obligé de gagner sa vie et d'aider sa famille après la mort de son père, il devient professeur de philosophie à Toulouse, au séminaire des Bernardins. Il s'y fait connaître comme poète et il est couronné par l'Académie des Jeux floraux (1745). Il décide alors de "monter à Paris".

    Ami et disciple de Voltaire, poète médiocre, traducteur, auteur dramatique et auteur de livrets d'opéras, grammairien et philosophe, il avait été tonsuré. Il fréquenta les salons de Mmes de Tencin, Geoffrin, de Lespinasse, Necker, et collabora à l'Encyclopédie ; il épousa une nièce de Morellet (en 1777). En 1758, il fit onze jours de Bastille pour une satire insérée dans le Mercure qu'il dirigeait et dont il ne voulut pas nommer l'auteur ; il fut trois fois lauréat du prix de poésie.

    Candidat à l'Académie, il se retira, devant Radonvilliers, dans l'espoir de se rendre la cour favorable, car il avait beaucoup d'adversaires et son ouvrage, la Poétique française faillit l'empêcher d'y entrer. L'habileté de Mme Geoffrin, chez qui il habitait, la protection de Mme de Pompadour, l'appui du prince de Rohan, le remarquable désintéressement de Thomas, eurent raison des brigues contraires et de l'opposition du duc d'Aumont. Marmontel fut élu le 24 novembre 1763, en remplacement de Jean-Pierre de Bougainville, et reçu le 22 décembre suivant par Armand-Jérôme Bignon.

    Lors de la visite du prince de Brunswick à l'Académie, en 1766, Marmontel donna une lecture de Bélisaire ; cet ouvrage fut condamné par l'archevêque de Paris en 1768, ce qui provoqua la colère et une polémique de Voltaire.

    Marmontel fut élu secrétaire perpétuel — le dernier de l'ancienne Académie — le 27 novembre 1783, remplaçant d'Alembert ; il reçut La Harpe et prépara avec d'Alembert la 5e édition du Dictionnaire. Ses deux tragédies lyriques, Didon et Pénélope, furent le point de départ de la querelle des piccinistes et des glückistes ; il fut le chef des premiers. C'est sur son opinion en musique qu'il fut élu secrétaire perpétuel, car il avait pour concurrent un autre philosophe, Suard, qui était le chef des glückistes. Il fut nommé membre non résident de l'Institut le 13 février 1796.

    Pendant la Révolution, Marmontel, qui lui fut hostile, se retira près de Gaillon.

    Il fut historiographe de France (1772), professeur d'histoire au Lycée (1786). Membre du Conseil des Anciens, où il est envoyé par les électeurs de l'Eure, il en fut exclu après le 18 fructidor. Il fut membre du Caveau.

    Il mourut d'apoplexie le 31 décembre 1799 dans sa maison d'Habloville, hameau de Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure).

    Ses principaux ouvrages sont : les Comtes moraux, Bélisaire, les Incas, les Éléments de littérature. Sainte-Beuve dit que Marmontel « est au premier rang parmi les bons littérateurs du XVIIIe siècle » et il estime que son meilleur ouvrage est ses Mémoires, très intéressants pour l'histoire des mœurs et de la société française à cette époque.


    « Il ne reste plus qu'un fils de Marmontel. Les deux aînés sont morts avant trente ans. »

    http://roglo.eu/roglo?lang=fr;p=jean+francois;n=marmontel;


    remerciements pour Mme Mathilde H. et pour son message du 03 mai 2022 :

    ...Auriez-vous, s.v.p. de plus amples informations sur sa descendance ..?.

    rien de plus :A.G.

    Notes concernant l'union

    Cinq Fils

      Photos & documents

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     Aperçu de l'arbre

       
    Martin MARMONTEL ca 1696-1740 Marianne GOURDES ca 1700-
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    Jean François MARMONTEL, Académie Française 1723-1799